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Citations de Toni Anderson (322)


— Je me fiche que tu m’aies écrit ou non. Je ne suis pas un adolescent. Tu m’as dit dès le début que tu ne voulais pas de relation, mais tu as appelé quand tu as eu besoin de moi. Merci.
Il écarta sa frange et ajouta :
— Quoi qu’il arrive à l’avenir, quoi qu’il se passe entre nous, sache que je serai toujours là pour toi si tu as besoin de moi. Toujours.
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Mallory n’était plus d’humeur à prendre des shooters. Sa tête lui tournait légèrement et une énergie nouvelle envahissait ses cellules. Sans qu’elle sache pourquoi, cette stupide chanson sentimentale de Noël lui rappelait qu’elle n’avait pas fait l’amour depuis plus de deux ans et que le type assis à côté d’elle était non seulement bien bâti, mais qu’il lui avait aussi demandé de sortir avec lui. Ce n’était pas un inconnu, c’était l’un des meilleurs amis de Lucas Randall, et Lucas ne supportait pas les connards. Elle se surprit à se pencher plus près de lui. Il sentait si bon.
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Autant être honnête. Il semblait être un type bien et elle n’aimait pas manipuler les gens. Malheureusement, au travail, elle n’aurait pas vraiment le choix. Formidable. Elle était pathétique et elle détestait ça. Elle prit une autre gorgée de vin.
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Ce n’était pas une façon de se faire des amis et Mallory manquait cruellement d’amis ces derniers temps. Quelqu’un l’effleura en prenant le tabouret à côté d’elle. Elle serra les dents et plissa les yeux en regardant les bulles de son vin. Si quelqu’un essayait de la chercher, il n’allait pas être déçu.
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Elle avait besoin d’oublier, et rester seule dans son appartement avec une bouteille de scotch semblait encore plus pathétique que de s’entourer d’inconnus. Elle avait des amis en ville, mais elle ne voulait voir personne, pas ce soir.
Dix-huit ans plus tôt, elle s’était couchée et au moment où elle s’était réveillée, sa vie, et celle de beaucoup d’autres, avait été détruite. Pourquoi ce salaud avait-il enlevé Payton et pas elle ? Avait-elle dit ou fait quelque chose qui aurait mis sa sœur en danger ? Était-ce sa faute ou juste le hasard ?
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Les yeux de la jeune femme formaient deux immenses lacs d’ambre. Il y lisait de la peur, mais aussi de la colère, bien compréhensible au vu de la situation. Il se retourna vers la fenêtre et l’ouvrit en grand, ôtant la moustiquaire qu’il jeta sur le lit.
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Mallory apparut, enroulée dans une serviette bleue, en position de tir, serrant son Glock 21 à deux mains. Si elle voyait son visage, sa vie était finie. Alex fit disparaître son couteau. Avant qu’elle ne puisse réagir, il lui arracha le pistolet des mains. Un coup de feu partit et la balle vint se loger dans le mur. Leurs mains jointes encaissèrent le recul, avant qu’il ne récupère l’arme et n’écarte Mallory. Du coin de l’œil, Alex vit l’autre enfoiré s’enfuir.
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Il utilisa tous ses sens pour localiser l’intrus. Qui que ce fût, il savait qu’il y avait une femme dans la maison et il était tout de même entré par effraction. Les cheveux se dressèrent derrière sa tête, sous son bonnet en laine. Un escalier grinça. Alex accorda quelques secondes d’avance à l’intrus avant de le suivre. Il sortit un couteau de sa botte et entra dans le salon.
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Ce serait un risque énorme de pénétrer dans la maison. Il vivait dans un château de cartes qui pouvait s’effondrer d’un seul coup.
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Depuis sa conversation avec Jane Sanders, il s’était fait un devoir d’apprendre tout ce qu’il y avait à savoir sur l’agent spécial, et son attirance initiale avait monté d’un cran. Il aimait les femmes intelligentes.
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De la lumière filtrait par la cuisine de Mallory. Elle apparut dans son champ de vision lorsqu’elle vint fermer les volets de la pièce. Ses traits étaient tirés et fatigués. Il se demanda quel genre de journée elle avait passé et quel genre de femme choisissait de lutter contre le crime alors qu’elle pourrait se permettre de vivre dans un luxe oisif.
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Elle avait l’impression d’être une marionnette suspendue à des ficelles. Le FBI imposait la musique, et elle se contentait de danser.
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Le fait qu’il soit assassin la rendait nerveuse, même si la seule femme sur laquelle il ait jamais tiré était vêtue d’un gilet pare-balles. Aucun ordre direct n’était nécessaire.
Il ne dit rien. Il s’affala simplement dans le fauteuil derrière son bureau. Se fondre dans le décor était l’un de ses meilleurs talents et il aurait menti en disant qu’il ne prenait pas de plaisir à chercher cette femme. Ils avaient à peu près le même âge, mais toute ressemblance s’arrêtait là. Elle était blonde et jolie, avec des airs de Barbie.
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Combien d’autres femmes devraient mourir à cause d’une loyauté obstinée et mal placée envers sa famille ?
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Elle avait été une erreur, mais il savait qu’il ne pourrait pas cesser de chercher avant d’avoir trouvé une remplaçante. Il se releva, recouvrit le corps de feuilles, du bout du pied, le masquant aux yeux indiscrets et l’éloignant de sa vue. En quelques heures, la neige l’envelopperait, et lorsque le printemps arriverait, le ruisseau qui bouillonnait paresseusement inonderait la zone et l’emporterait comme un déchet. Il ramassa la housse mortuaire, balaya la zone du regard pour vérifier qu’il n’avait rien laissé derrière lui, et reprit la direction de sa voiture. Il lui fallut quinze bonnes minutes pour y arriver.
L’air froid lui brûlait les poumons et il frissonnait sous sa veste en peau de mouton. Il monta dans le SUV et démarra le moteur, allumant immédiatement le chauffage. Le fait d’enlever quelqu’un si près de chez soi présentait un risque à bien des égards, mais d’un autre côté, c’était une stratégie qui pouvait s’avérer payante et en dérouter plus d’un. Et il n’avait pas besoin de continuer à tuer… Il fallait juste qu’il trouve la bonne. Seulement, il n’avait pas conscience que ce serait si difficile.
Tu sais où la trouver…
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Il n’aimait pas mentir, il n’aimait pas tuer. Il n’aimait pas la mort. Mais il n’avait pas le choix. Une fois sa dette remboursée, il passerait à autre chose et reconstruirait une vie dont il serait fier. D’ici là, il avait encore cinq cent quarante-deux jours à tirer et il n’avait pas le droit de penser à de jolies femmes aux yeux d’ambre mélancoliques.
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C’était une chose de voir les photos de la scène du crime, une autre d’être dans l’antre d’un tueur en série, à découvrir ses victimes.
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Le problème avec la kétamine, c’était qu’elle pouvait déclencher de fortes hallucinations et rendait souvent les déclarations des témoins non seulement inadmissibles devant un juge, mais carrément délirantes. En l’occurrence, ils n’avaient rien d’autre à quoi se raccrocher. Peut-être se souviendrait-elle de certains détails à propos du tueur de Meacher.
— Avez-vous vu son visage ?
— Un très beau mec. Ou alors c’était un rêve.
Ses yeux marron louchaient sur le visage de Mallory, peinant à faire la mise au point.
— Vous êtes du FBI ? Que s’est-il passé ? Où suis-je ?
Mais avant que Mallo ne puisse répondre, la femme aperçut le corps de Meacher gisant sur le sol et sembla prendre conscience de son chemisier déchiré et du crissement du plastique dans son dos. Elle se redressa à demi, jeta un œil au sous-sol froid et humide et se mit à sangloter. Puis elle commença à hurler.
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Meacher était un tueur en série, mais il avait manifestement été assassiné. Il s’agissait d’une scène de crime à plusieurs niveaux, pourtant la sécurité et le confort des victimes survivantes passaient toujours en premier.
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Mieux que quiconque, Mallory comprenait cette peur viscérale. Elle vivait avec, tous les jours, depuis dix-huit ans. Toute sa vie s’articulait autour d’une question : pourquoi avait-on enlevé sa sœur, et pas elle ? Qu’est-ce qui faisait d’une personne une cible ? Comment les monstres choisissaient-ils leurs victimes ?
Mais ce n’était pas le moment d’y réfléchir.
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