D'un mot, ce Griffard fait s'abaisser devant lui les épées, les bâtons ... et les murailles.
Il s'oppose victorieusement, seul et désarmé comme il est, à un monde entier ligué contre lui ; il est la conscience ignorée d'une époque, et la conférence où demain se révélera.
Il est d'une grandeur impertinente, il s'appelle déjà le Livre, il s'appellera demain la Presse, amusante et triomphante.
Il souligne d'un trait décisif la fin du drame où il évolue en demandant et en obtenant du roi une place ... de bibliothécaire ...
(extrait de la critique de Gaston Sorbets incluse dans le 84ème numéro de "L'Illustration Théâtrale" du 14 mars 1908)