Vikash Dhorasoo - On n'est pas couché 11 novembre 2017 #ONPC
Le moment que 'jai toujours préféré, c'est l'attente dans le couloir, avant de rentrer dans la pelouse. Tout, vraiment tout ce qui se passe ne prend son sens que lorsqu'on est dans le couloir."
Si demain je m'engage c'est pour retrouver la cohésion, l'entraide, la joie d'etre ensemble, qui ne sont pas liés uniquement au fait d'avoir de l'emploi et de l'argent. On a perdu tout cela, et peu de gens tentent de retrouver le cours des choses, je trouve.
L'important, c'est de participer, disait Pierre de Coubertin... Mais à la fin, on compte quand même les médailles.
(Vikash Dhorasoo)
Le père de Coluche avait raison : "Y'a pas de grands, y'a pas de petits : la bonne longueur pour les jambes, c'est quand les pieds touchent bien par terre."
Par terre, c'était Le Havre. La ville a été rasée à 90% pendant la guerre et reconstruite dans l'urgence par l'architecte Auguste Perret. Il fallait reloger les gens. Cette ville paraît moche à certains, pas à moi. Je la trouve belle. Elle a du sens, une histoire plus grande que moi. De toute façon, tout est plus grand que moi. Elle, elle m'émeut, avec une histoire que j'aime. C'est une ville portuaire.
On est des salariés d'une entreprise. On a un patron. On n'est pas grand-chose. Quand j'ai été viré du PSG, je me suis retrouvé à l'ANPE. Je n'ai pas de pouvoir. On ne me consulte pas. Je suis un salarié d'une entreprise bien payé, c'est tout !
«Juninho a révolutionné le football en inventant une nouvelle façon de frapper les coups francs.
Un mélange entre le plat du pied et le coup de pied.»
Finalement, je reprendrai le match. Je rentre après tout le monde sur le terrain, complètement bouleversé. Je perds la balle, Arsenal marque.