Tantôt, il se glace
dans l'éclat de laque de lune,
tantôt il gémit,
éclaboussé
de blessures d'écume.
Je regarde,
je regarde...
et toujours semblable,
cher
et proche m'est l'océan.
À jamais,
mon oreille gardera
ton fracas.
Te verser
dans mes yeux
sera toujours une joie.
Par la grandeur,
l'énergie,
le sang,
le souffle,
Tu es le frère aîné
de ma révolution.
*Parfois on a le sentiment puissant que certains poèmes ont été écrits pour nous, c'est le cas avec celui-ci. Merci mh.