Citations de Yoko Kamio (62)
Ne vous moquez pas de lui ! Êtes-vous donc tellement forts vous-même pour vous permettre de ricaner autant des échecs des autres ?
- Mais... je... J'ai dit "Bye-Bye" pour la première fois depuis des années !
- Ben tu pourras le redire demain et après-demain...
- C'est vrai ? Et dans un mois, et dans un an ?
- C'est malheureux d'être affamée d'affection à ce point...
Tant que tu te contenteras de m'imiter, tu ne grandiras jamais, même si tu y consacres plein de temps.
- Vous vous êtes raccommodées ta mère et toi ?
- Hein ? Mais je sais pas coudre, moi !
Le temps que nous passons ici n'a rien d'évident. Notre rencontre même relève du miracle. Même si je n'ai pas envie d'y penser, elle sera aussi brève qu'un tour de manège.
Je vais encore marcher un long moment sur un chemin obscur. Je pense que je vais encore me perdre, me blesser, me décourager. Et sans doute vais-je souhaiter mille fois être heureuse. Mais je connais un chemin de traverse qui mène au bonheur. Sur son toit sont posés quatre chats de bronze. Cat street...
Porte de belles chaussures car elles conduiront tes pas vers un bel endroit.
Personne d'autre que nous-mêmes ne peut nous sauver des terribles traumatismes que nous avons subis.
C'est le stress qui me donne la chair de poule...
Le passé, c'est le passé, il ne reviendra pas...
- Il faut que je me souvienne de cette recette pour en préparer à mon petit ami !
- Tu cherches à charmer son estomac ?
- Il paraît que c'est super efficace !
- On dit que la personne à qui on a envie de cuisiner de bons petits plats... est le réel élu de notre cœur !
La rumeur disait que le chef du F4 était un type bête et violent... Je confirme.
- Dites... vous trouvez que je suis allée trop loin ?
- oui.
- exactement.
- ce n'est pas possible de revenir à une quinzaine de pages en arrière ?
- c'est trop tard ! Tout le monde l'a déjà lu.
- tant pis ! C'est fait, c'est fait ! Tu as peur maintenant ?
- Tsukasa Dômyôji le gland aurait trop honte d'être avec une fille comme elle.
- Tsukasa le grand nous fait un beau lapsus !
J'ai arrêté l'école tout de suite après mon entrée au lycée. Je ne pouvais plus supporter d'être emmaillotée dans le même uniforme que les autres. J'ai essayé d'y aller habillée comme ça une fois ils se sont tous fichus de moi, mes amies m'ont mise à l'écart, et j'ai laissé tomber. Donc je veux montrer mon vrai moi, en portant ma tenue de combat. Après tout quel mal y a-t-il à faire ce qu'on aime?
Tu sais Kôichi, à chaque fois qu'il m'arrive quelque chose de merveilleux, j'ai l'impression que quelque chose de précieux va se briser.
La véritable colère celle qui fait trembler tout le corps. Si quelqu'un ouvrait ma tête pour regarder dedans, je pense qu'il n'y verrait que du rouge.
Nous sommes tant écartés de la société et nous sommes si immatures que nous redoutons toujours le monde extérieur.
Après tout, nous autres nous sommes tous des chats errants. Rei a hoché la tête. Kôichi a souri. Et moi, j'ai ri pour la première fois depuis sept ans, baignée dans un clair de lune orange.
Quand il s'agit d'agir, il n'est jamais trop tôt ou trop tard.