Yuu Watase

Un second tome toujours aussi sympathique et je suis vraiment contente de cette relecture. Moi qui appréhende toujours un peu avec les sagas que j'ai pu lire il y a plusieurs années, ici, aucune inquiétude à l'horizon. Yuu Watase ne tergiverse pas et nous plonge rapidement dans l'histoire, ce qui est aussi un gros plus. Et pourtant, avec toutes les étoiles à rassembler, on pouvait s'attendre à ce qu'elle tire un peu sur la corde, mais non. Personnellement, je préfère même si le manga finit par être plus court. Garder l'intérêt de son lecteur est primordial.



Takiko comprend maintenant toute l'ampleur de sa destinée. Les sacrifices qu'elle va devoir faire, les responsabilités mais aussi l'hostilité dont elle va être la cible. Car la venue de la prêtresse est aussi synonyme de malheur. Les guerres et la violence ne cessent de croître dans le monde où elle a atterri. Difficile donc de poursuivre sa mission dans les meilleures conditions. Mais c'est sans compter sur son caractère. Elle n'est pas du genre à courber l'échine, ou à se cacher au moindre danger. Bien au contraire, éprise de justice, elle n'hésite pas à se battre. Ce qui n'est pas vraiment du goût de Tomité ou Rimudo. Mais c'est ce que l'on aime chez elle. Sa bravoure et son courage inspirent et même si elle est rejetée, elle continuera.



Comme je le disais au début de ma chronique, la quête des étoiles avance beaucoup. Avec Rimudo et Tomité, Takiko a plusieurs pistes pour trouver les autres, et notamment Hatsui. Mais les choses ne sont pas faciles car le père de Rimudo est bien décidé à éliminer la prêtresse et ses étoiles, et d'autres ennemis font aussi leur apparition. On ne s'ennuie pas une seconde et une ambiance assez pesante s'installe. Nos héros ne peuvent faire confiance à personne, les traîtres sont partout. Rien de tel pour souder un groupe qui pour l'instant est loin d'avoir une dynamique très simple. Heureusement toutes ces difficultés sont contrebalancées par des situations plus drôles qui allègent le tout. C'est vraiment quelque chose que j'apprécie dans le manga et que je trouve très pertinent. D'ailleurs, la gestion de l'humour est beaucoup fluide que dans Fushigi Yugi à mon goût.



Ce second tome nous permet aussi de mieux appréhender Rimudo. On comprend mieux sa situation ainsi que le fait qu'il ne veuille pas, pour l'instant, rejoindre le groupe de Takiko (même s'il n'est jamais bien loin). Cela lui donne clairement un aspect plus héroïque et le pauvre Tomité passe à la trappe. Bien qu'il y ait un "triangle" amoureux qui se profile, Tomité part perdant sans surprise. Je trouve par contre le traitement entre les deux jeunes hommes un peu trop aux antipodes et c'est dommage. Un meilleur équilibre aurait donné à Tomité une étiquette plus valorisante, et il le mérite. Autre petit point qui me chagrine, mais cela vient potentiellement de la traduction, le fait que Takiko vouvoie ses étoiles. Ils ont quasiment le même âge et vu ce qu'ils ont vécu, je trouve cela déplacé, surtout que le caractère de Takiko ne s'y prête pas trop non plus. Cela met une distance qui n'a pas lieu d'être.



Des petits détails qui ne changent en rien la qualité du manga. J'ai passé un très bon moment, et j'ai hâte de poursuivre.

Je poursuis mon challenge de relecture de mes anciens mangas, avec Fushigi Yugi, la légende de Gembu. Je garde un très bon souvenir de cette série de Yuu Watase et j’espère y retrouver le même plaisir qu’à l’époque. Pour ce premier tome, pour l’instant, le pari est tenu.



Pour ceux qui ont lu Fushigi Yugi, le spin La légende de Gembu n’a pas vraiment de secrets. Nous avons pu voir certaines étoiles dans la saga originale, et nous savons ce qu’il advient. Cependant, la curiosité reste bien présente. Le parcours de la prêtresse et de ses étoiles ainsi que les liens qu’ils vont tisser sont pour moi, la partie la plus intéressante. Je suis du genre à me spoiler sans aucun souci, donc clairement, connaître la fin n’est pas quelque chose qui me freine. Et puis, il est difficile de résister à Takiko.



Dès les premières pages, le caractère de notre héroïne a de quoi charmer. Elle est loin d’être une demoiselle sans défense, n’a pas la langue dans sa poche, ne se laisse pas démonter. Un personnage fort qui nous est aussi dépeint de façon drôle et piquante. Un mélange qui fonctionne à merveille et dès le départ, on a envie d’en savoir plus sur elle. La jeune femme n’a pas eu une vie facile, avec une mère gravement malade et un père absent, si bien que lorsqu’elle est transportée dans un monde totalement inconnu, elle est certes un peu désorientée, mais elle y voit aussi une chance. Couper les ponts avec sa vie et en recommencer une autre.



Si le manga a un côté assez drôle de par ses répliques, les passages chibis et les nombreux quiproquos, il n’en reste pas moins que l’on sent également une certaine tension et beaucoup d’émotions. J’aime l’équilibre que les deux extrêmes apportent. Cela permet d’alléger le côté dramatique, mais sans non plus rendre le tout ridicule. Et clairement, je trouve les personnages beaucoup plus attachants comme cela.



Un très bon départ donc qui pose assez rapidement ses bases. Encore une fois, c’est une « suite » et nous connaissons donc le principe des prêtresses et de ses étoiles. La résilience dont Takiko fait preuve aide aussi. Elle prend le pli assez rapidement et accepte ce qu’il se passe sans trop se poser de questions. Il faut dire qu’elle est témoin de pas mal de choses assez extraordinaires également. De quoi accélérer le processus.



Pour l’instant, les bases sont posées, deux étoiles sont déjà présentes et l’on sent que les choses ne vont pas être faciles. Une forme de terreur s’est abattue dans le pays où Takiko a atterri et connaissant le caractère de la jeune femme, elle ne va pas rester les bras croisés. Un début donc très prometteur.

Ce manga est un vrai petit bijou de la littérature nippone!

Je l'ai découvert à la bibliothèque et le coup de crayon de Yuu Watase est fin et délicat!

L'histoire en elle-même est bonne et solide.

On suit les aventures (ou mésaventures) de Alice, une jeune lycéenne follement amoureuse du beau Kyo. Mais c'est sans compter sur sa terrible sœur Mayura, jalouse d'elle qui va lui causer des ennuis...

On ne s'ennuie pas et on a envie de savoir ce qui arrive exactement à Alice et de mieux comprendre.

Un super manga et une super série!

Cette serie est une petite incursion de Watase dans la science fiction. Elle me fait penser un peu à Blade Runner et ses humanoides. Ce manga est une manière décomplexée d'aborder les "loverobots". Pour celles qui aiment les dramas, ce shojo est à servi d'inspiration pour projets japonais, coréen et tawainais. Les adaptations ont l'intérêt d'avoir proposé des protagonistes adultes quand ici, on est dans une romance adolescente.

Sakura Gari est un de mes yaoi préféré. Pour l’histoire et la pertinence des textes. Je valide la recherche historique et culturelle, avec des citations littéraires. L’histoire quant à elle est tortueuse, psychologique et dramatique, vraiment une œuvre magnifique. Cela change des yaoi insipides où seules les scènes érotiques et les personnages plats dans un cadre scolaire ridicule sont de mises.

Je suis moins fan du graphisme, mais les dessins sont tout de même beaux dans le genre, et surtout réalistes avec des japonais aux traits asiatiques pour une fois.

Sakura Gari est un de mes yaoi préféré. Pour l’histoire et la pertinence des textes. Je valide la recherche historique et culturelle, avec des citations littéraires. L’histoire quant à elle est tortueuse, psychologique et dramatique, vraiment une œuvre magnifique. Cela change des yaoi insipides où seules les scènes érotiques et les personnages plats dans un cadre scolaire ridicule sont de mises.

Je suis moins fan du graphisme, mais les dessins sont tout de même beaux dans le genre, et surtout réalistes avec des japonais aux traits asiatiques pour une fois.

Sakura Gari est un de mes yaoi préféré. Pour l’histoire et la pertinence des textes. Je valide la recherche historique et culturelle, avec des citations littéraires. L’histoire quant à elle est tortueuse, psychologique et dramatique, vraiment une œuvre magnifique. Cela change des yaoi insipides où seules les scènes érotiques et les personnages plats dans un cadre scolaire ridicule sont de mises.

Je suis moins fan du graphisme, mais les dessins sont tout de même beaux dans le genre, et surtout réalistes avec des japonais aux traits asiatiques pour une fois.

Concernant la couverture, je la trouve jolie, avec des couleurs chaudes et un trait qui représente parfaitement le talent de la mangaka.



Concernant les graphismes, ils sont magnifiques, fins et délicats. Je ne suis peut-être pas très objective, mais je trouve que Yuu Watase est une des mangaka au meilleur coup de crayon. Je n'ai jamais été déçue par ses œuvres et ai été témoin, au fil des tomes, de son évolution graphique. J'ai aimé qu'elle ponctue le tout de quelques plans des personnages en chibi avec des traits exagérément expressifs, qui n'est pas sans rajouter pas mal d'humour.



Comme dit dans le résumé, nous sommes à l'époque Edo et Yuzura a été abandonnée à la naissance, accompagnée de Kongomaru, un étrange bâton. Trouvée par un couple de pharmaciens, ces derniers l'on adoptée et élevée comme leur fille. Le papa adore inventer des objets farfelus et m'a fait rire à plusieurs reprises.



Maintenant âgée de 15 ans, Yuzura est devenue "la pourfendeuse de regrets", autant garçon manqué qu'impulsive, mais avec le cœur sur la main. Avec son fidèle Kongomaru, qui lui confère ce pouvoir, la jeune fille est capable d'effacer la tristesse qui hante le cœur des gens puis de la retourner contre ceux qui en sont à l'origine. C'est aussi sans compter sur son assistant, Minekichi, qui apporte une touche conséquente d'humour à l'histoire.



Un jour, elle est amenée à croiser la route de Samon, un samouraï en danger. Leurs routes ne se séparerons plus après ça. Le jeune homme est gentil et serviable et va rapidement s'attacher à Yuzura. Ses moments de jalousie sont en général savoureux et rajoutent au côté comique du manga.



L'arrivée de Kazanosuke, un ninja, apportera un côté un peu sérieux de par sa situation, mais il rajoutera lui aussi beaucoup de petites touches d'humour à cette histoire.



L'histoire en elle-même n'est pas la plus recherchée ni la plus complexe, Yuu Watase le reconnait elle-même, mais elle n'est pas bâclée non plus. Yuzura et ses comparses vont devoir faire avec un "fantôme", des fausses piste et des voleurs... le tout saupoudré d'essais de la jeune fille pour en savoir plus sur son passé et le pourquoi de son abandon bébé.



Une autre chose qui m'a beaucoup fait rire, c'était les petites cases où l'on pouvait voir Yuu Watase tenter de rajouter des choses modernes au manga, en plein dans l'histoire, et se faire rabrouer par son éditeur, par exemple. J'ai adoré ces petits ajouts !



J'ai beaucoup aimé, à la fin du T3, la petite histoire bonus qui introduit l'univers d'Alice 19th, manga que j'ai plus qu'adoré !



En résumé, j'ai passé un bon moment entre les pages de ce manga en trois tomes. Ce n'est peut-être pas la saga la plus travaillée de Yuu Watase, mais je ne l'ai pas trouvée bâclée pour autant, car l'histoire de fond est celle de la recherche des origines de Yuzura et de Kongomaru. Les personnages sont très attachants et plein d'humour, les situations peuvent passer du plus sérieux à des passages plus loufoques, à des moments de tension ou d'émotion à une envie de rire. À lire pour passer un bon moment détente.
Lien : http://booksfeedmemore.eklab..

Concernant la couverture, je la trouve jolie, avec des couleurs chaudes et un trait qui représente parfaitement le talent de la mangaka.



Concernant les graphismes, ils sont magnifiques, fins et délicats. Je ne suis peut-être pas très objective, mais je trouve que Yuu Watase est une des mangaka au meilleur coup de crayon. Je n'ai jamais été déçue par ses œuvres et ai été témoin, au fil des tomes, de son évolution graphique. J'ai aimé qu'elle ponctue le tout de quelques plans des personnages en chibi avec des traits exagérément expressifs, qui n'est pas sans rajouter pas mal d'humour.



Comme dit dans le résumé, nous sommes à l'époque Edo et Yuzura a été abandonnée à la naissance, accompagnée de Kongomaru, un étrange bâton. Trouvée par un couple de pharmaciens, ces derniers l'on adoptée et élevée comme leur fille. Le papa adore inventer des objets farfelus et m'a fait rire à plusieurs reprises.



Maintenant âgée de 15 ans, Yuzura est devenue "la pourfendeuse de regrets", autant garçon manqué qu'impulsive, mais avec le cœur sur la main. Avec son fidèle Kongomaru, qui lui confère ce pouvoir, la jeune fille est capable d'effacer la tristesse qui hante le cœur des gens puis de la retourner contre ceux qui en sont à l'origine. C'est aussi sans compter sur son assistant, Minekichi, qui apporte une touche conséquente d'humour à l'histoire.



Un jour, elle est amenée à croiser la route de Samon, un samouraï en danger. Leurs routes ne se séparerons plus après ça. Le jeune homme est gentil et serviable et va rapidement s'attacher à Yuzura. Ses moments de jalousie sont en général savoureux et rajoutent au côté comique du manga.



L'arrivée de Kazanosuke, un ninja, apportera un côté un peu sérieux de par sa situation, mais il rajoutera lui aussi beaucoup de petites touches d'humour à cette histoire.



L'histoire en elle-même n'est pas la plus recherchée ni la plus complexe, Yuu Watase le reconnait elle-même, mais elle n'est pas bâclée non plus. Yuzura et ses comparses vont devoir faire avec un "fantôme", des fausses piste et des voleurs... le tout saupoudré d'essais de la jeune fille pour en savoir plus sur son passé et le pourquoi de son abandon bébé.



Une autre chose qui m'a beaucoup fait rire, c'était les petites cases où l'on pouvait voir Yuu Watase tenter de rajouter des choses modernes au manga, en plein dans l'histoire, et se faire rabrouer par son éditeur, par exemple. J'ai adoré ces petits ajouts !



J'ai beaucoup aimé, à la fin du T3, la petite histoire bonus qui introduit l'univers d'Alice 19th, manga que j'ai plus qu'adoré !



En résumé, j'ai passé un bon moment entre les pages de ce manga en trois tomes. Ce n'est peut-être pas la saga la plus travaillée de Yuu Watase, mais je ne l'ai pas trouvée bâclée pour autant, car l'histoire de fond est celle de la recherche des origines de Yuzura et de Kongomaru. Les personnages sont très attachants et plein d'humour, les situations peuvent passer du plus sérieux à des passages plus loufoques, à des moments de tension ou d'émotion à une envie de rire. À lire pour passer un bon moment détente.
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Concernant la couverture, je la trouve jolie, avec des couleurs chaudes et un trait qui représente parfaitement le talent de la mangaka.



Concernant les graphismes, ils sont magnifiques, fins et délicats. Je ne suis peut-être pas très objective, mais je trouve que Yuu Watase est une des mangaka au meilleur coup de crayon. Je n'ai jamais été déçue par ses œuvres et ai été témoin, au fil des tomes, de son évolution graphique. J'ai aimé qu'elle ponctue le tout de quelques plans des personnages en chibi avec des traits exagérément expressifs, qui n'est pas sans rajouter pas mal d'humour.



Comme dit dans le résumé, nous sommes à l'époque Edo et Yuzura a été abandonnée à la naissance, accompagnée de Kongomaru, un étrange bâton. Trouvée par un couple de pharmaciens, ces derniers l'on adoptée et élevée comme leur fille. Le papa adore inventer des objets farfelus et m'a fait rire à plusieurs reprises.



Maintenant âgée de 15 ans, Yuzura est devenue "la pourfendeuse de regrets", autant garçon manqué qu'impulsive, mais avec le cœur sur la main. Avec son fidèle Kongomaru, qui lui confère ce pouvoir, la jeune fille est capable d'effacer la tristesse qui hante le cœur des gens puis de la retourner contre ceux qui en sont à l'origine. C'est aussi sans compter sur son assistant, Minekichi, qui apporte une touche conséquente d'humour à l'histoire.



Un jour, elle est amenée à croiser la route de Samon, un samouraï en danger. Leurs routes ne se séparerons plus après ça. Le jeune homme est gentil et serviable et va rapidement s'attacher à Yuzura. Ses moments de jalousie sont en général savoureux et rajoutent au côté comique du manga.



L'arrivée de Kazanosuke, un ninja, apportera un côté un peu sérieux de par sa situation, mais il rajoutera lui aussi beaucoup de petites touches d'humour à cette histoire.



L'histoire en elle-même n'est pas la plus recherchée ni la plus complexe, Yuu Watase le reconnait elle-même, mais elle n'est pas bâclée non plus. Yuzura et ses comparses vont devoir faire avec un "fantôme", des fausses piste et des voleurs... le tout saupoudré d'essais de la jeune fille pour en savoir plus sur son passé et le pourquoi de son abandon bébé.



Une autre chose qui m'a beaucoup fait rire, c'était les petites cases où l'on pouvait voir Yuu Watase tenter de rajouter des choses modernes au manga, en plein dans l'histoire, et se faire rabrouer par son éditeur, par exemple. J'ai adoré ces petits ajouts !



J'ai beaucoup aimé, à la fin du T3, la petite histoire bonus qui introduit l'univers d'Alice 19th, manga que j'ai plus qu'adoré !



En résumé, j'ai passé un bon moment entre les pages de ce manga en trois tomes. Ce n'est peut-être pas la saga la plus travaillée de Yuu Watase, mais je ne l'ai pas trouvée bâclée pour autant, car l'histoire de fond est celle de la recherche des origines de Yuzura et de Kongomaru. Les personnages sont très attachants et plein d'humour, les situations peuvent passer du plus sérieux à des passages plus loufoques, à des moments de tension ou d'émotion à une envie de rire. À lire pour passer un bon moment détente.
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Nous avons là un manga sentimental et érotique qui relate les aventures d’un jeune homme qui se retrouve mêlé malgré lui aux manigances d’une famille. C'est plutôt bien dessiné avec des décors du Japon de l'an 9 de l'ère Taisho (1920) à une époque de réel grand changement pour ce pays.



Je n'ai pas trop aimé ce yaoi beaucoup trop sombre et cruelle. Je n'aime guère les viols qui ne sont pas synonymes de séduction. Cela va beaucoup trop loin. On arrive à être totalement dégoûté à la fin du premier tome. Bref, cela arrive quelques fois quand on tombe dans une espèce de surenchère gratuite.

Un délice comme seule Yuu Watase sait les écrire. De la magie, de l’amour, des sentiments, du drame, un humour décapant… Dès les premières pages, impossible de lâcher ce manga !

je ne sais pas combien il y a de tome mais j'en ai lu 4 si je me souviens bien et j'ai beaucoup aimé même si ce n'est habituellement pas mon genre de lecture

Après tant d'années à attendre, voici enfin les débuts du dernier arc de Fushigi Yugi promis par Yuu Watase il y a tant d'année. Ainsi après l'histoire des prêtresses de Suzaku et Seiryu dans les années 90, celle de Gembu dans les années 2000, place à la dernière des quatre prêtresses. Impossible donc d'attendre l'annonce d'une sortie française, je me suis jetée sur la version américaine qui vient de sortir chez Viz (Shojo Beat).



Pour ceux qui connaissent la saga, pas de surprise au rendez-vous, juste le plaisir de retrouver un univers chéri. Pour les autres, pas de souci vous pouvez quand même plonger dedans, ça vous donnera juste très envie de découvrir les autres prêtresses si vous adhérez au concept.



Dans ce nouvel arc, nous suivons la petite Suzuno Ohsugi dans le Japon des années 1920. La petite fille adore ses parents, en particulier son père. Ce dernier était en lien avec le père de la prêtresse de Gembu qui a tragiquement disparu et sait bien que le mystérieux livre "Les écrits des Quatre Dieux" peut se révéler fort dangereux pour celle qui l'ouvre par inadvertence. C'est ce qui va arriver à Suzuno le jour où un terrible tremblement de terre va ravager sa ville. Sauvée inextremis, elle se retrouve propulsée dans un autre monde où elle tombe nez à nez avec une trompe de voleurs avant d'être sauvée par une jeune fille pouvant se transformer en tigre !



Vous l'aurez compris, nous sommes dans la pure tradition de l'isekai, ces récits où le héros/l'héroïne se retrouve dans un autre monde régi par des codes propres à la Fantasy. Sauf qu'ici, on se retrouve un peu avec un classique du genre et non un pale copie comme on en voit depuis des années. On a quand même devant nous une autrice qui en a fait sa marque de fabrique depuis près de 30 ans, c'est dire si elle en maîtrise les ficelles !



Yuu Watase déroule donc son récit avec une rare facilité. Narration ultra fluide. Exposition des personnages parfaitement réussie. Dessins ultra soignés et détaillés dans la pure tradition du shojo d'aventure des années 90 mais avec la grâce et la finesse de son trait actuel. Mythologie pensée et maîtrisée depuis longtemps dont les arcanes sont simples à comprendre mais révèle une vraie richesse tout de même. On est pour moi dans le must du genre. Cependant, comme je connais très bien l'autrice, j'ai également le sentiment qu'elle ne prend aucun risque ici. Elle fait ce qu'elle sait faire et elle le fait bien mais il manque un petit truc en plus.



J'ai tout de même beaucoup aimé suivre d'abord une héroïne toute jeune qui se retrouve propulsée dans un monde inconnu, sans repère avec la peur de perdre ses parents dans le présent. J'ai aimé le mystère qui entoure son rôle dans ce monde parallèle, ainsi que les identités des personnages croisés. Feront-ils parti des étoiles censés protéger la nouvelle prêtresse ? Et quel est ce souverain qui avait envoyé des soldats à sa recherche ? Que cherche-t-il à faire et pourquoi ? C'est déjà vu dans les autres arcs mais ça fonctionne toujours très bien.



Le retour dans le monde réel pour permettre à l'héroïne de grandir est une bonne idée parce que je ne suis pas sûre que j'aurais apprécié de suivre longtemps une enfant dans un tel univers. Cependant, celle-ci est encore très très naïve et manque de force de caractère par rapport à la prêtresse de Gembu, par exemple. J'attends donc de la part de l'autrice qu'elle nous muscle un peu tout ça. Je ne veux pas juste un récit où l'héroïne se fait baloter à droit à gauche, est trop faible, trop amoureuse, ou où il y a trop de drama. J'attends de ce titre des sentiments, oui, mais aussi beaucoup d'action, d'aventure et peut-être un nouveau développement de la mythologie autour des prêtresses ?



Mais ce premier tome m'a satisfaite. Il expose bien l'histoire, les personnages, les premiers enjeux et les premières relations. Les dessins et la mise en page signés Yuu Watase me plaise toujours autant, c'est une valeur sûre pour moi dans le genre. Je n'ai vraiment rien à redire, si ce n'est que c'est un peu facile pour l'autrice. Elle pourrait se permettre de prendre plus de risque ;)
Lien : https://lesblablasdetachan.w..

Une magnifique conclusion !

Je ne voyais pas d'autre fin possible pour cette série. Même si la fin est un peu prévisible puisqu'elle est la plus logique de toutes les fins que l'auteur aurait pu faire, j'ai tout de même pleurer à chaude larmes !

Même en étant un robot, Night est devenu en quelque sorte "humain" de par ses actions et le fait de penser dépassant ainsi sa "programmation".

Riiko a enfin fait son choix (même si c'était couru d'avance et c'est dommage car j'aurais aimé ça sorte des schémas traditionnels).

Les situations cocasses s'enchaînent vite et même trop vite et c'est vraiment dommage ce qui en vient à être tiré par les cheveux par moment.

Cependant on passe toujours un bon moment et j'adore toujours autant les personnages et leur évolution au fil du récit.

Ça m'aurait étonnée que le premier amour de l'héroïne ne débarque pas !

Ce tome m'a provoqué des petites frayeurs car les actions s'enchaînent à vitesse grand V !

On sent qu'on se rapproche de la fin de cette série et j'en suis très triste !

Ne jamais sous-estimer son rival amoureux ! C'était sûr que Sôshi aurait fini mais découvrir le secret de Night ! Mais ça rajoute du piment dans leur compétition !

Finalement la mésaventure de Night se termine bien ! Cependant, nous voilà bel et bien en plein triangle amoureux !

J'aurais envie de dire : tous les coups sont permis, mais il semblerait que ça se joue à la loyal entre Night et Soshi.

Le cœur de Riiko n'a pas fini d'être torturé.

Mention spéciale aux parents de Riiko qui m'ont fait passer un très bon moment ! Dommage que leur apparition soit aussi rapide...

Seconde tome aussi bien que le premier !

L'ombre du trio amoureux qu'on pouvait voir se profiler dans le premier tome s'est avéré exact et notre pauvre Riiko s'en est pris pas mal dans la tête dans ce tome...cependant elle tient le coup et sa naïveté est vraiment rafraîchissante.

La fin du tome est pour le moins surprenant en ce qui concerne Night, mais ça rajoute du piment dans cette série.

Un premier tome qui annonce une série complètement déjantée !

Les dessins sont simples, mais l'histoire nous fait oublier ce détails.

La simplicité de Night vient ajouter de la fraîcheur !

Et je suis totalement d'accord avec ce que dit le vendeur (désolée j'ai oublié son nom) : notre petit copain ne peut pas avoir toutes les qualités que l'on désire sinon ça ferait peur !