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3.49/5 (sur 87 notes)

Nationalité : Royaume-Uni
Né(e) le : 12/05/1966
Biographie :

Jon Stock alias J. S. Monroe est un journaliste et romancier britannique.

Il fait ses études à la Sherborne School, puis au Magdalene College de l'Université de Cambridge. Il travaille ensuite à Londres comme journaliste pigiste pour plusieurs journaux nationaux, en plus de contribuer régulièrement à des émissions de BBC Radio.

Après avoir été brièvement scripteur pour la télévision, il publie son premier roman policier "Lutte des casses" ("The Riot Act", 1997).

Correspondant étranger pour "The Daily Telegraph" à Delhi, en Inde, de 1998 à 2000, il réside ensuite à Kochi, au Kérala, où il est chroniqueur pour "The Week Magazine". Il publie en 2003 un premier roman d'espionnage, "The Cardamom Club", dont l'action se déroule en Inde.

À son retour en Angleterre, il occupe le poste de rédacteur de la section Weekend du "Daily Telegraph" de 2005 à 2010.

Entre-temps, en 2009, il amorce avec "Hors d'haleine" ("Dead Spy Running"), une trilogie d'espionnage centrée sur le héros, l'agent du MI6 Daniel Marchant, constituée de "Jeux de traîtres" ("Games Traitors Play", 2011) et "Complot de sang" ("Dirty Little Secret", 2012).

Une fois sa trilogie achevée, il retourne à son poste de rédacteur au "Daily Telegraph". Il se consacre à l'écriture à plein temps à partir de 2015.

En 2017, il publie "Trouvez-moi avant qu'ils ne le fassent..." ("Find Me") sous le pseudonyme J. S. Monroe. Le thriller psychologique lui a fait connaître un succès international, aussi bien auprès de la critique que du public.

"La fille sans nom" ("Forget My Name") est paru sous le même pseudonyme en 2018.

Il vit dans le Wiltshire avec sa femme et ses trois enfants.

site officiel : http://www.jsthrillers.com/
Twitter : https://twitter.com/JSThrillers
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Citations et extraits (14) Voir plus Ajouter une citation
Sean boit plusieurs gorgées à grands traits, renversant la tête en arrière jusqu'à ce qu'il puisse voir le fond de son verre vide, puis il le repose brutalement sur le comptoir.
- Parfois, je ne me rappelle même plus comment je m'appelle !
- Je ferme les yeux et détourne le visage.
- C'est parce que tu passe ton temps ici, dit Luke avec une grimace gênée, me regardant d'un air contrit.
Il doit être au courant [ de mon amnésie].
- Je viens aussi souvent que mon portefeuille et ma femme me le permettent.
- Tu n'es même pas marié, dit Luke.
- Qui que ce soit, je suis sûr qu'elle sera très compréhensive.
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C'est quand le soleil se couche qu'il se sent vulnérable. Il s'embrouille et se sent désorienté. Agité. On appelle cela le syndrome crépusculaire, un état associé aux stades initiaux et intermédiaires d'Alzheimer.
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Comme l'a dit un célèbre boxeur, tout le monde a un plan avant de recevoir un coup de poing dans la figure.
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Orwell a dit : " Etre journaliste, c'est imprimer quelque chose que quelqu'un d'autre ne voudrait pas voir imprimé. Tout le reste n'est que relations publiques ."
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Annalese est la seule femme que j'aie jamais aimée, la première personne à me trahir. On m'a laissé tomber plus d'une fois, mais jamais trahi. La trahison tient de la surprise. L'état qui vous baise, on s'y attend, ça va avec le territoire, et ma famille - on attend pas grand chose les uns des autres depuis le jour où je suis né (braillant et donnant des coups de pieds partout, j'aime imaginer). Mais Annalese ? Elle m'a pris au dépourvu, je roupillais. Je ne l'ai pas vue venir.
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Tout ce qu’il me reste, ce sont mes premières impressions : un homme tranquille au milieu de l’agitation, vivant à un rythme modéré – à la cool, aurait dit mon père. Mais cette apparence calme cache-t-elle une sauvagerie maîtrisée, une passion contenue ? Ou prends-je simplement mes désirs pour des réalités ?
J’ai honte maintenant. Ni lui ni moi n’avions de l’argent, mais lui, jeune écrivain irlandais obligé de travailler dans ce restaurant sans se plaindre, de servir des étudiants radins pour payer ses factures, s’est empressé de me dépanner, moi qui ne pouvais pas payer parce que j’avais largement atteint le plafond autorisé.
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Cela fait deux semaines que je suis arrivée ici, et papa me manque plus que jamais. Je pensais que le changement de décor, ce nouveau départ, briseraient le cycle, mais c’est raté. Même l’agitation de la semaine d’intégration ne parvient pas à me faire oublier mon immense chagrin. Nous faisions la paire, lui et moi, nous étions le sel et le poivre, Morecambe et Wise (son émission préférée), plus proches qu’aucun de mes amis ne semble l’être de son père. C’était le destin qui nous avait liés. Nous n’avions pas eu notre mot à dire. Voilà exactement ce que nous ressentions.
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Il m’a appelée, mais le papillon s’est envolé quand je me suis approchée. En silence, nous l’avons regardé s’éloigner en virevoltant, insouciant, téméraire, trop loin de la terre pour survivre.
Je ne sais pas très bien à quelle espèce appartient celui-ci. J’ai envie de forcer ses ailes à s’ouvrir, d’apporter un peu de couleur à ma vie délavée, mais ce serait une atteinte à sa liberté. Et il y en a déjà trop eu.
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Le cerveau est un organe effrayant, capable de se souvenir de toutes sortes de choses que nous souhaitons oublier, et d’oublier la seule chose dont nous voulons à tout prix nous souvenir. Puis, après des années, il choisit de se remettre à fonctionner, comme un état neuronal autonome, et il fait apparaître un cauchemar de derrière les remparts de la cité, des terres stérile de l’amnésie.
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C’est étrange comme on devine que quelque chose d’affreux s’est produit avant d’en avoir la preuve empirique. C’est quelque chose dans l’air, peut-être, un goût métallique dans notre bouche. Les petites lumières dans les branches au-dessus de nous ne semblaient plus aussi douces et accueillantes, les braseros brûlaient soudain plus intensément.
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