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4.33/5 (sur 20 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Roanoke, Virginie , le 09/03/1923
Mort(e) à : Hockley, Texas , le 02/02/2010
Biographie :

Eustace Clarence Mullins, Jr. est un essayiste et négationiste américain.

Durant la Seconde Guerre mondiale, il s'enrôle dans l'armée en tant qu'adjudant.

Il fut le dernier protégé de l'immense poète américain Ezra Pound, qui lui commanda d'enquêter sur la Réserve Fédérale.

En 1950, alors bibliothécaire à la Bibliothèque du Congrès des États-Unis, Mullins eut tout le loisir d'éplucher minutieusement toutes les auditions parlementaires de l'époque sur le sujet.

Mullins est un opposant à la Réserve Fédérale (FED) qu'il accuse d'être depuis 1913 en possession de banques privées ou d'actionnaires privés, via les actions détenues par ses 12 chapitres locaux.

Les secrets de la réserve fédérale (Secrets of the Federal Reserve) a été publié en 1952.

Dans un tract nommé "L'holocauste secret" (The Secret Holocaust) Mullins explique que le récit généralement admis de la Shoah n'est pas plausible et fait valoir qu'il s'agit selon lui d'une histoire inventée en vue d'étouffer les massacres de chrétiens et d'anticommunistes commis par les Soviétiques dirigés par des juifs.

En 2005, Eustace Mullins est un contributeur au journal American Free Press ainsi qu'au Barnes Review.
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Source : Oxford University Press, USA, 18 mai 1989
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Eustace Mullins - The New World Order (en anglais)


Citations et extraits (11) Voir plus Ajouter une citation
Il est intéressant de noter combien de présidents des Etats-Unis ont été assassinés après s’être préoccupés de l'émission de la monnaie publique; Lincoln, avec son dollar "greenback", et Garfield, qui avait fait un discours sur les problèmes monétaires juste avant d’être assassiné.
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Le 18 janvier 1920, un commentaire sur le Système de la Réserve Fédérale figurait en page éditoriale du New York Times. L'auteur de ce commentaire non signé (peut-être Paul Warburg), y déclarait ceci : "La Réserve Fédérale est une source de crédit, pas de capital." C'était l'une des déclarations les plus révélatrices jamais faites sur le Système de la Réserve Fédérale. Elle dit que le Système de la Réserve Fédérale n'ajoutera jamais rien à la structure du capital ou à la formation du capital aux Etats-Unis, parce que la FED est organisée pour produire du crédit et créer de la monnaie en vue d'alimenter le crédit et la spéculation, au lieu de fournir les capitaux nécessaires au progrès du commerce et de l'industrie. Exposé simplement, la capitalisation signifierait l'apport de billets adossés à du métal précieux ou à d'autres matières premières. Les billets de banque de la Fed ne sont que du papier-monnaie ne reposant sur rien et prêtés avec intérêt.
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Durant trois années de spéculation effrénée, M. Warburg n’avait pas cru bon de faire la moindre remarque sur l’état de la bourse. Un organe de presse ami, le New York Times, offrit à ce compte-rendu, non seulement deux colonnes sur sa page éditoriale, mais il fit remarquer, en édito, la sagesse et la profondeur des observations de M. Warbourg. La préoccupation de M. Warbourg était sincère, puisque la bulle boursière était allée beaucoup plus loin que ce qu’il avait prévu, et les banquiers avaient peur des conséquences si jamais le peuple réalisait ce qui se passait. Alors que ce reportage du New York Times déclencha à la bourse une vague soudaine de ventes, les banquiers commencèrent à paniquer et il fut décidé d’apaiser le marché d’une manière ou d’une autre. En conséquence, la national city bank de Warburg injecta d’urgence Vingt-cinq millions de dollars de liquidités sur le marché monétaire à court terme et repoussa le jour du Krach. 
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Grâce à ses spéculations juteuses, le Baron Nathan Mayer de Rothschild, comme il se faisait désormais appeler, régna sur Londres en tant que puissance financière suprême. Un jour, lors d'une réception qu'il donnait à son hôtel particulier, il s'était exclamé avec arrogance : "Je me fiche de savoir quelle marionnette est placée sur le trône d'Angleterre pour diriger l'Empire sur lequel le soleil ne se couche jamais. L'homme qui contrôle la masse monétaire de la Grande-Bretagne contrôle l'Empire Britannique, et je contrôle la masse monétaire britannique."
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Lorsque le système de la réserve fédérale a commencé ses opérations en 1914, il a forcé le peuple américain à prêter aux alliés vingt-cinq milliards de dollars, qui ne furent pas remboursés. En revanche, des interêts considérables furent versés aux banquiers new-yorkais. Le peuple Américain fut entraîné dans la guerre contre le peuple allemand, alors qu’il n’avait aucun différent politique ou économique avec lui.
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« Donnez-moi le contrôle de la monnaie d'une nation, et je me moque de qui fait ses lois. »
(Mayer Amschel Rothschild)
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Le président Garfield, peu avant son assassinat, avait déclaré que quiconque contrôle la masse monétaire contrôle les entreprises et les activités du peuple. Cent ans auparavant, Thomas Jefferson avait prévenu le peuple américain qu'une banque centrale privée émettant la monnaie publique était une plus grande menace pour les libertés du peuple qu'une armée debout.
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Non content d'avoir un ami à la Maison Blanche, la J. Henry Schroder Corporation, s'embarqua bientôt dans d'autres aventures internationales; rien de moins qu'un plan pour préparer la Deuxième Guerre Mondiale. Il s'agissait de fournir, au moment crucial, le financement de la prise de pouvoir en Allemagne par Hitler. Bien que l'on ait attribué la responsabilité du financement d'Hitler à d'innombrables magnats, dont Fritz Thyssen, Henry Ford et J.P. Morgan, ceux-ci, avec d'autres, ont vraiment apporté des millions de dollars afin de financer ses campagnes politiques durant les années 20, exactement comme ils l'avaient fait pour d'autres candidats qui auraient eu une chance de remporter les élections, mais qui disparurent et dont on n'entendit plus jamais parler.
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En fait, les services de renseignements britanniques, dirigés par Lord Shelburne, avaient fait accomplir toute la Révolution française depuis Londres comme un complot maçonnique pour débarrasser l'Angleterre de son rival le plus ancien et le plus historique. Après 1815, la France n'a plus jamais fait peser de menace sur l'hégémonie britannique.
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« L’unique objectif de ces financiers est le contrôle du monde par la création de dettes inextinguibles. »
(Henry Ford)
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