Nationalité : France
Né(e) : 1912
Mort(e) le : 29/01/2005
Né(e) : 1912
Mort(e) le : 29/01/2005
Biographie :
Jean-Louis Foncine (pseudonyme de Pierre Lamoureux) est un auteur français de romans de jeunesse. Il a été le codirecteur de la collection Signe de Piste avec Serge Dalens à partir de 1954, collection fondée en 1937 par Jacques Michel (alias Maurice de Lansaye).
Il étudie au collège Stanislas à Paris. Il fait alors du scoutisme et devient chef de troupe en 1930 à la 14e Paris (paroisse Sainte Clothilde). il fait son service militaire à Sélestat en 1935. C'est là que se dessine sa carrière d'écrivain et qu'il a l'idée de la bande des Ayacks. À son retour de l'armée, il crée la 131e Paris attachée à la paroisse saint François-Xavier.
Prisonnier dans un Oflag après la « drôle de guerre », il est chargé de l'accueil des français en Service du travail obligatoire. À la fin de la guerre, il s'évade et se réfugie dans les forêts autour de Dresde, fuyant les Allemands, puis les Russes et finalement recueilli par les Américains. Décoré de la Croix de Guerre 39-45, diplômé d'Etudes Supérieures de Droit et de l'Ecole des Sciences Politiques, il renonce à une carrière juridique pour s'engager dans l'écriture : il vivra du journalisme et de ses romans.
En 1945, il devient rédacteur en chef du journal « Scout », puis à partir de 1947, secrétaire général de la rédaction à « France-Magazine » jusqu'en 1949. Il commence à s'impliquer dans les éditions Alsatia à partir de 1950, dirigeant une librairie spécialisée pour la jeunesse.Il est le directeur littéraire des éditions Alsatia entre 1960, date à laquelle il s'installe à Besançon, et 1973. Cette même année 1960, il devient directeur délégué des « Dépêches de Besançon » puis à partir de 1974, rédacteur culturel et religieux à ce journal puis à « l'Est républicain ». Intéressé par les idées de la Nouvelle Droite, Jean-Louis Foncine était par ailleurs membre du GRECE et participait à plusieurs de ses colloques.
Il écrivit également sous les pseudonymes de Charles Vaudémont et Henri Malans.
+ Voir plusJean-Louis Foncine (pseudonyme de Pierre Lamoureux) est un auteur français de romans de jeunesse. Il a été le codirecteur de la collection Signe de Piste avec Serge Dalens à partir de 1954, collection fondée en 1937 par Jacques Michel (alias Maurice de Lansaye).
Il étudie au collège Stanislas à Paris. Il fait alors du scoutisme et devient chef de troupe en 1930 à la 14e Paris (paroisse Sainte Clothilde). il fait son service militaire à Sélestat en 1935. C'est là que se dessine sa carrière d'écrivain et qu'il a l'idée de la bande des Ayacks. À son retour de l'armée, il crée la 131e Paris attachée à la paroisse saint François-Xavier.
Prisonnier dans un Oflag après la « drôle de guerre », il est chargé de l'accueil des français en Service du travail obligatoire. À la fin de la guerre, il s'évade et se réfugie dans les forêts autour de Dresde, fuyant les Allemands, puis les Russes et finalement recueilli par les Américains. Décoré de la Croix de Guerre 39-45, diplômé d'Etudes Supérieures de Droit et de l'Ecole des Sciences Politiques, il renonce à une carrière juridique pour s'engager dans l'écriture : il vivra du journalisme et de ses romans.
En 1945, il devient rédacteur en chef du journal « Scout », puis à partir de 1947, secrétaire général de la rédaction à « France-Magazine » jusqu'en 1949. Il commence à s'impliquer dans les éditions Alsatia à partir de 1950, dirigeant une librairie spécialisée pour la jeunesse.Il est le directeur littéraire des éditions Alsatia entre 1960, date à laquelle il s'installe à Besançon, et 1973. Cette même année 1960, il devient directeur délégué des « Dépêches de Besançon » puis à partir de 1974, rédacteur culturel et religieux à ce journal puis à « l'Est républicain ». Intéressé par les idées de la Nouvelle Droite, Jean-Louis Foncine était par ailleurs membre du GRECE et participait à plusieurs de ses colloques.
Il écrivit également sous les pseudonymes de Charles Vaudémont et Henri Malans.
Source : Wikipédia
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Retour Fabrice Guy et Sylvain Guillaume
Retour de Fabrice GUY, médaille d'or et Sylvain GUILLAUME, médaille d'argent, dans l'épreuve combiné du ski nordique individuel. Les villageois de Mouthe dans le Doubs et de Foncine dans le Jura, leur ont fait un accueil triomphal. - [Différents plans] Fabrice GUY sur char, de NUIT. [Différents plans] fête organisée par les villageois de Mouthe. - A Foncine, de NUIT, villageois...
Citations et extraits (7)
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L'histoire se déroule au Pays perdu ...
Dès cette époque, B. P. attire l'attention de ses chefs sur l'importance du Scouting, c'est-à-dire l'art de l'exploration dans l'instruction militaire.
En ce temps-là, on ne croyait pas beaucoup à la formation personnelle du combattant; on maniait les détachements militaires comme des pions sur un échiquier, et l'officier anglais était aussi ignorant de la science de I'Eclaireur « qu'un chimpanzé l'est du patinage ».
En ce temps-là, on ne croyait pas beaucoup à la formation personnelle du combattant; on maniait les détachements militaires comme des pions sur un échiquier, et l'officier anglais était aussi ignorant de la science de I'Eclaireur « qu'un chimpanzé l'est du patinage ».
Il terminait ses enseignements de ce jour là par une pirouette.
Quelqu'un m'a demandé un jour quel était le meilleur moyen de se rendre heureux, et j'ai répondu: Faites une bonne action à quelqu'un, chaque jour, et ayez un canif qui coupe. Essayez vous-mêmes, et vous verrez si ce n'est pas vrai
Quelqu'un m'a demandé un jour quel était le meilleur moyen de se rendre heureux, et j'ai répondu: Faites une bonne action à quelqu'un, chaque jour, et ayez un canif qui coupe. Essayez vous-mêmes, et vous verrez si ce n'est pas vrai
- Tu fais le malin, mais tu ne rirais pas si ce soir sur cette route perdue elle repassait...
- Qui cela?
- La vieille diligence parbleu! La dernière diligence.
Les cinq scouts éclatèrent de rire ; cela leur fit du bien, car ils commençaient à sentir le poids de cette journée. Mais le silence retomba bientôt sur le relais perdu dans la forêt.
Le vent gémissait toujours.
Et soudain... soudain...
Jean-Pierre s'était dressé.
- Ecoutez... écoutez donc!
Inquiets, les garçons tendirent l'oreille.
- Quoi donc?
- Ecoutez... On dirait... on dirait...
- Et bien?
- On dirait le galop d'un cheval.
L'annonce fit l'effet d'un coup de tonnerre.
- Qui cela?
- La vieille diligence parbleu! La dernière diligence.
Les cinq scouts éclatèrent de rire ; cela leur fit du bien, car ils commençaient à sentir le poids de cette journée. Mais le silence retomba bientôt sur le relais perdu dans la forêt.
Le vent gémissait toujours.
Et soudain... soudain...
Jean-Pierre s'était dressé.
- Ecoutez... écoutez donc!
Inquiets, les garçons tendirent l'oreille.
- Quoi donc?
- Ecoutez... On dirait... on dirait...
- Et bien?
- On dirait le galop d'un cheval.
L'annonce fit l'effet d'un coup de tonnerre.
L'amour fraternel, la passion de la justice dont ils sont hantés l'un et l'autre, gardent une valeur symbolique et quasi définitive. Je suis convaincu que ce récit sera compris par les jeunes de maintenant et de demain, comme il le fut de ceux qui l'ont lu au cours des vingt dernières années.
Puisse-t-il susciter le même violent désir de pacification et d'amour chez tous ceux qui croiraient avoir des raisons de s'endurcir dans l'inimitié et dans la haine.
Puisse-t-il susciter le même violent désir de pacification et d'amour chez tous ceux qui croiraient avoir des raisons de s'endurcir dans l'inimitié et dans la haine.
Le Chef est soudain grave, une émotion sincère se peint sur ses traits.
- Voilà où commence le vrai drame. Je ne suis pour rien dans le cahier noir. Nous rejoignons une Histoire fantastique qui touche au mystérieux passé de ce château, un passé que je croyais mort et qui ne l'était pas...
- Voilà où commence le vrai drame. Je ne suis pour rien dans le cahier noir. Nous rejoignons une Histoire fantastique qui touche au mystérieux passé de ce château, un passé que je croyais mort et qui ne l'était pas...
Garde cette tenue ! Demain soir, au chalet, tu feras sensation.
-Je ne le mérite pas. Je ne suis pas vraiment Raider.
-Non bien sûr, tu ne le mérites pas, et tu n'es pas vraiment Raider, cher baĺlot ! Mais tu le deviendras.
-Vrai ?
-Pour une fois que je trouve un frére, tu voudrais que je le laisse à la porte de mon château ?
Wolfgang rougit de nouveau
-Tu es chic, Olivier, mais ceux de ton équipe... ?
-Ils t'attendent, Wolfgang, tu es des nôtres. Tu es de notre sang.
-Je ne le mérite pas. Je ne suis pas vraiment Raider.
-Non bien sûr, tu ne le mérites pas, et tu n'es pas vraiment Raider, cher baĺlot ! Mais tu le deviendras.
-Vrai ?
-Pour une fois que je trouve un frére, tu voudrais que je le laisse à la porte de mon château ?
Wolfgang rougit de nouveau
-Tu es chic, Olivier, mais ceux de ton équipe... ?
-Ils t'attendent, Wolfgang, tu es des nôtres. Tu es de notre sang.
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