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Premier roman que je lis de cet auteur dont j’ai pourtant beaucoup entendu parler. Je m’attendais à du Thilliez ou Minier et bien, je ne suis pas déçue.
Nous suivons Diane, jeune trentenaire écorchée par la vie, adepte des arts martiaux et qui entretient des rapports houleux avec sa mère et avec les gens en général. C’est ainsi qu’elle va adopter un jeune
garçon de six ou sept ans en Thaïlande. Seulement, suite à un accident de voiture, Diane va se retrouver au cœur d’une affaire qui va la mener en Russie puis en Mongolie sur la trace des Tsevens.
J’étais un peu réticente en commençant ce roman au vu de la note de Babélio qui sans être médiocre n’est pas non plus très élevée et puis finalement, je n’ai pas été déçue, l’écriture est fluide et addictive bien que je déplore quelques longueurs. L’histoire est uniquement racontée du point de vue de Diane ce qui évite la frustration de rester sur sa faim à la fin de chaque chapitre mais ça n’enlève rien au suspense. A des moments j’ai été convaincue de certaines choses mais finalement je me suis trompée.
J’ajoute que pour une fois c’est agréable que Diane, le personnage principal n’ait pas besoin de forniquer avec son coéquipier pour être intéressante. Ca change de tous ces policiers qui fonctionnent en binôme et qui terminent toujours ensemble (cf Dan Brown, Thilliez, Beuglet…)
Et le côté « sans pitié » de l’évolution et du traitement des personnages m’a bien plu. Il ne faut pas trop s’attacher.
Le dénouement bien que lunaire, n’est pas incohérent avec la trame de fond donc même si la tournure un peu trop ésotérique et fantastique que prend la fin de l’intrigue est déroutante, ça n’entache pas complétement la qualité du reste du roman.
Pour une première avec Jean Christophe Grangé, je demeure convaincue que je réitérerai l’expérience d’autant qu’a priori, celui-ci n’est pas son meilleur roman.
La référence à Alice détective m’a bien plu, c’est avec ces livres en autres que j’ai eu le goût pour la lecture.
Nous suivons Diane, jeune trentenaire écorchée par la vie, adepte des arts martiaux et qui entretient des rapports houleux avec sa mère et avec les gens en général. C’est ainsi qu’elle va adopter un jeune
garçon de six ou sept ans en Thaïlande. Seulement, suite à un accident de voiture, Diane va se retrouver au cœur d’une affaire qui va la mener en Russie puis en Mongolie sur la trace des Tsevens.
J’étais un peu réticente en commençant ce roman au vu de la note de Babélio qui sans être médiocre n’est pas non plus très élevée et puis finalement, je n’ai pas été déçue, l’écriture est fluide et addictive bien que je déplore quelques longueurs. L’histoire est uniquement racontée du point de vue de Diane ce qui évite la frustration de rester sur sa faim à la fin de chaque chapitre mais ça n’enlève rien au suspense. A des moments j’ai été convaincue de certaines choses mais finalement je me suis trompée.
J’ajoute que pour une fois c’est agréable que Diane, le personnage principal n’ait pas besoin de forniquer avec son coéquipier pour être intéressante. Ca change de tous ces policiers qui fonctionnent en binôme et qui terminent toujours ensemble (cf Dan Brown, Thilliez, Beuglet…)
Et le côté « sans pitié » de l’évolution et du traitement des personnages m’a bien plu. Il ne faut pas trop s’attacher.
Le dénouement bien que lunaire, n’est pas incohérent avec la trame de fond donc même si la tournure un peu trop ésotérique et fantastique que prend la fin de l’intrigue est déroutante, ça n’entache pas complétement la qualité du reste du roman.
Pour une première avec Jean Christophe Grangé, je demeure convaincue que je réitérerai l’expérience d’autant qu’a priori, celui-ci n’est pas son meilleur roman.
La référence à Alice détective m’a bien plu, c’est avec ces livres en autres que j’ai eu le goût pour la lecture.
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