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Sherlock Holmes : Une étude en rouge (Ecrit d..

Bon… je n'ai rien de fondamental à reprocher à ce roman, mais je n'ai pas accroché.



Ici, le récit est centré sur la rencontre entre le mythique duo Sherlock Holmes/Watson. Au début, je trouvais intéressant de savoir comment avait débuté leur relation, mais ce bon sentiment a fini par se dissiper plus vite que je ne l'aurais cru. Le style est désuet et les interactions entre Sherlock et les différents personnages ne m'ont pas emballée outre mesure. Je trouvais que ça traînait en longueur, la supériorité intellectuelle du détective nous est répétée à maintes reprises, ce qui ne faisait qu'amplifier ma lassitude. Mais ceci est une affaire de goût, car par exemple, je n'ai aucun problème avec Hercule Poirot que j'affectionne beaucoup et pourtant, on ne peut pas dire que la modestie soit l'une de ses qualités.



En dehors des personnages auxquels j'ai éprouvé peu d'attraits, c'est le rythme qui m'a posée le plus souci. Il m'a semblé inégal avec l'existence de deux parties bien distinctes qui rendaient le tout peu harmonieux. La première partie qui se concentre sur l'enquête, est focalisée sur les déductions de Sherlock (logique, je vous le concède), et son besoin incessant de montrer sa supériorité sur les autres, et c'est là où le bât blesse, on dirait que c'était avant tout une démonstration de ses capacités hors normes, plus qu'une enquête. Je ne me sentais pas impliquée, rien n'était fait pour que le lecteur découvre l'identité et les motivations du/des responsables du crime, seul Sherlock est en mesure de le faire, et vu qu'il garde tout pour lui, je me sentais « exclue ». Ce type de structure peut plaire, mais ça n'est pas mon cas, ça a même eu l'effet inverse jusqu'à mon décrochage complet avec la seconde partie. Et justement, cette dernière partie prend une forme tout à fait différente de la première, s'en suit alors une épopée en plein cœur des mormons afin de comprendre le dénouement et les motivations du/des responsables du meurtre. Objectivement, ça n'était pas dénué de sens mais je n'ai pas réussi là non plus à m'immerger. Je ressentais sans cesse l'envie d'en finir avec cette histoire, sentant la panne de lecture poindre tant l'ennui m'appesantissait. C'était bien trop long (alors que le roman est court !) pour une fin qui n'offre, en définitive, rien de transcendant que ça soit dans ses explications ou dans sa mise en scène. C'était assez basique pour le genre, même s'il y avait de bonnes idées.



Vous l'aurez compris, je suis passée à côté de cette lecture, ceci étant, ça reste très subjectif car il n'y a rien de rédhibitoire et ça pourra sans aucun doute plaire aux férus de Sherlock Holmes. Malheureusement, ça n'est pas mon cas, j'ai dû mal avec son personnage, et ni le rythme, ni l'enquête n'ont réussi à me maintenir intéressée. Je pense m'arrêter là avec Arthur Conan Doyle, sur les trois romans que j'ai lus de lui, seul l'incontournable « chien des Baskerville » avait su me séduire. Pour le reste, l'ennui et la déception sont toujours les adjectifs qui qualifient le mieux mes lectures de cet auteur, et j'en suis la première déçue. Je me contenterai des adaptations cinématographiques, qui se prêtent mieux à mes goûts !
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Sherlock Holmes : Le signe des Quatre (La m..

Le signe des quatre par Sir Arthur Conan Doyle



Je suis passée à coté. C’est tout. À aucun moment du récit je ne suis rentré dedans, c’est aussi simple que ça. Pour le contexte : c’est mon deuxième Sherlock Holmes, le premier étant « Une étude en rouge » qui m’avais également déplu. Et il s’est passé la même chose dans les grandes lignes. J’ai trouvé ça un peu lent a démarrer (et pour un roman de 180 pages, c’est assez problématique). Le mystère pas forcément passionnant, et le pire pour moi c’était la résolution.

Pas de spoilers ici, mais encore une fois comme dans une étude en rouge, ça se termine par le méchant qui explique son passé au cours d’un seul chapitre bien trop long et qui va bien trop dans les détails à mon goût. N’aurait il pas été bien plus agréable d’avoir un chapitre de longueur moyenne qui synthétise tout ce qui est dit dans ces révélations ? De plus je pense que ça serait plus agréable d’avoir Holmes qui révèle tout à la fin, tel un Poirot ou un Lupin.

De plus, c’est un roman britannique, qui parle de l’Inde et des îles britanniques, évidemment il y a un doux soupçon de racisme. Je sais que je le souligne souvent, car je lis souvent des livres datés, mais je préfère le relever.

Et comme je l’ai dit plus tôt, le mystère m’est passé au dessus. Il m’as juste pas intéressé. Ça arrive, je n’étais pas au rendez-vous.



Finalement il n’y a eu que deux éléments qui m’ont plu dans ce récit : Le premier est l’addiction à la drogue de Holmes, ça donne de la profondeur au personnage, ça le rend plus faillible, plus humain. Et ça c’est chouette pour le personnage que Holmes décrit comme « une machine à raisonner ». Le deuxième point positif est l’amour entre Watson et Mary Morstan. Cela ne m’as pas passionné, mais c’était pas non plus inintéressant.



Bref, comme mon précédent Sherlock Holmes, c’est un C- soit un 9/20. Je ne recommande pas vraiment à qui que ce soit, sauf une fois encore au fan hardcore de Sherlock Holmes qui veulent vraiment tout lire. Pour moi c’est une lecture tout à fait dispensable.
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Sherlock Holmes : Le signe des Quatre (La m..

"Le Signe des Quatre" de Sir Arthur Conan Doyle mettant en scène le célèbre détective Sherlock Holmes et son fidèle compagnon, le Dr Watson est une enquête classique et malgré son statut emblématique, ce roman n'a pas réussi à capturer mon intérêt de la même manière que d'autres œuvres de l’auteur. Bien que Doyle excelle habituellement dans la construction de mystères complexes et dans la caractérisation de ses personnages, j'ai trouvé que l'intrigue du "Signe des Quatre" manquait de tension et de suspense, ce qui l'a rendue moins immersive que prévu. Bien que "Le Signe des Quatre" présente certains aspects intéressants, il n'a pas réussi à rivaliser avec l'impact et l'engagement que j'ai ressentis en lisant le roman d'Agatha Christie “Les Quatre” qui est assez similaire. De plus, il est essentiel de noter les remarques racistes présentes dans le récit, qui reflètent malheureusement les préjugés de l'époque victorienne dans laquelle l'histoire est ancrée. En fin de compte, bien que ce roman puisse plaire aux fans de Sherlock Holmes, il ne m'a pas entièrement convaincue.
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