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EAN : 9781519432452
290 pages
CreateSpace Independent Publishing Platform (26/11/2015)
2.12/5   4 notes
Résumé :
A la manière d'un metteur en scènes, Jean-François Naizot conte neuf nouvelles contemporaines. Il insuffle au lecteur le sentiment d'être le spectateur d'autant de courts-métrages. D'Hilda, jeune retraitée à la rancoeur intacte, à Sarah, adolescente à la recherche d'une propriétaire d'escarpins abandonnés, en passant par Serge, restaurateur assoiffé de reconnaissance et Pauline, mère éplorée en mal de vengeance, l'auteur s'attache à l'étude psychologique des personn... >Voir plus
Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
Un recueil de nouvelles une première pour moi. Merci à l'auteur pour ce livre et sa dédicace.

Voilà, j'ai un petit souci, j'ai abandonné…."l'addition s'il vous plait" de Jean François Naizot.

Pourtant, j'y ai trouvé quelques passages intéressants notamment dans la première nouvelle. La longueur des nouvelles est inégale, c'est pesant.

Ce n'est pas faute d'avoir persévéré. J'ai lu les ¾, en m'efforçant de séparer l'ivraie du bon grain, mais je ne peux poursuivre une telle lecture :

- « A tel point qu'il se demandait parfois si la femme qu'il avait épousée n'était pas un peu conne »

- « C'est peut-être moi le roi des cons dans cette histoire. Et si j'étais en train de me faire baiser par ma propre femme et ma propre connerie. »

- « Tu es con ou quoi ! c'est toi qui m'as demandé de trouver un moyen de baiser ce casino. »

- « L'enfoiré ! il s'était fait baiser…. Mais pas par sa propre femme »

Je n'adhère pas, tout comme dans « Et si Pauline était une femme comme vous et moi »

le style d'écriture vulgaire et grossier à mon sens, ne peut être assimilé à une manière de qualifier les personnages.

Voilà, il s'agit que de mon avis.

La soustraction s'il vous plait !
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Neuf nouvelles assez différentes pour nous surprendre.
Jean-François Naizot m'a souhaité une très belle lecture et a rapidement griffonné sur la première page blanche de son recueil : "Des personnages... fictifs... que l'on rencontre parfois au détour d'une vie". Non, je ne souhaite pas rencontrer un de ces êtres malfaisants au possible ! L'imagination des écrivains est sans limite dans la noirceur de leurs créations. Cela n'arrive tout de même pas à la cheville d'un Harlan Coben mais c'est très moderne dans les idées.
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Sympa pour un premier livre sans prétention. Nouvelles amusantes et variées. Les thèmes abordés sont d'actualité. Les femmes sont assez bien mises en valeur. A lire pour se vider la tête
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Livre très facile à lire. Nous vous en privé pas
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Paul, le mari, était le genre de type aimé ou détesté. Un physique athlétique altéré par les abus de bonne chair, une voix à la - feu- Joe Cocker trahissant une consommation excessive de tabac, des yeux verts que vous pouviez fixer éternellement tant leur expression invitait au plongeon, et une démarche volontaire, stabilisée par des pieds orientés à dix heures dix. C'était çà Paul.
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