Cette belle et longue analogie entre les phénomènes telluriques et les
affections de la matrice et leurs conséquences indique à l’évidence que
l’énigme de l’intériorité du corps féminin hante l’homme et que, même
au sein de la réflexion médicale, l’irruption d’une pensée qui échappe à
la stricte explication rationnelle est constante.
Des principes que nous avons explicités découlent plusieurs conséquences:
l’embryon masculin acquiert forme plus rapidement que l’embryon
féminin, car il a plus de chaleur en lui. Selon la formule bien
connue, l’homme le plus froid est plus chaud que la plus chaude des
femmes. Autre question: qui, de l’homme ou de la femme, jouit de la plus grande longévité?