Ivonne Papin-Drastik/5
1 notes
Résumé :
Théo Van Rysselberghe (1862-1926), peintre belge majeur du xx e siècle, est le principal représentant du néo-impressionnisme en Belgique.
Ce catalogue porte un regard sur la manière dont le peintre sublime ses sujets, à l'image d'un instantané presque photographique.
Au travers de compositions savantes, par le jeu de cadrages d'une étonnante frontalité, le peintre propose des sujets dont l'anecdote est bannie.
Dans ses paysages, dans ses portrai... >Voir plus
Ce catalogue porte un regard sur la manière dont le peintre sublime ses sujets, à l'image d'un instantané presque photographique.
Au travers de compositions savantes, par le jeu de cadrages d'une étonnante frontalité, le peintre propose des sujets dont l'anecdote est bannie.
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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Quand on vend une maison, c'est pas le tout, mais il faut la vider et ça commence par le tri… alors c'est parti haro sur la bibliothèque ! (en passant si certains peuvent être intéressés par une maison dans l'Hérault, voici le lien : http://www.agencegalerie.fr/fr/vente-maison-de-caractere-saint-jean-de-la-blaquiere-p-r7-340133609.html (et tant pis si j'ai des représailles de Babelio….)
Bon revenons à nos moutons ou plutôt à ce magnifique peintre belge que fut Théo van Rysselberghe, un des plus grands et pourtant malheureusement assez mal connu en France.
Rares sont en effet, les expositions qui lui ont été consacrées, et comme nous en informe le musée de Lodève (encore lui) qui lui a consacré une exposition en 2012 dont cet ouvrage constitue le catalogue raisonné, la dernière dans notre pays datait de 1963.
Théo van Rysselberghe fut, entre autre, un remarquable portraitiste. Il a peint sa famille, sa femme, sa fille, ses parents, ses amis… parmi ces derniers, on peut admirer dans ce catalogue, les portraits entre autres de André Gide à Jersey (qui eut une relation avec une fille de Théo), et celui d'Emile Verhaeren à son bureau.
Le tableau repris sur la couverture est « le Ruban écarlate » (1906) un grand et beau tableau qui témoigne de la maîtrise que Théo van Rysselberghe a acquise avec la discipline du pointillisme.
Un peintre à découvrir ou à redécouvrir.
Bon revenons à nos moutons ou plutôt à ce magnifique peintre belge que fut Théo van Rysselberghe, un des plus grands et pourtant malheureusement assez mal connu en France.
Rares sont en effet, les expositions qui lui ont été consacrées, et comme nous en informe le musée de Lodève (encore lui) qui lui a consacré une exposition en 2012 dont cet ouvrage constitue le catalogue raisonné, la dernière dans notre pays datait de 1963.
Théo van Rysselberghe fut, entre autre, un remarquable portraitiste. Il a peint sa famille, sa femme, sa fille, ses parents, ses amis… parmi ces derniers, on peut admirer dans ce catalogue, les portraits entre autres de André Gide à Jersey (qui eut une relation avec une fille de Théo), et celui d'Emile Verhaeren à son bureau.
Le tableau repris sur la couverture est « le Ruban écarlate » (1906) un grand et beau tableau qui témoigne de la maîtrise que Théo van Rysselberghe a acquise avec la discipline du pointillisme.
Un peintre à découvrir ou à redécouvrir.
Citations et extraits (2)
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Grand, solidement bâti, large d’épaules, sans être fin ni particulièrement racé, il avait de l’allure ; une allure ample et souple qui lui conférait une manière d’élégance qu’on sentait foncière. Il avait une tête de caractère, en était conscient, et l’habitait bien avec ce que comporte souvent d’irrévocable et d’un peu buté des traits fortement marqués.(...) Il abritait un grand œil brun au regard calme, quasi impersonnel, étonnamment attentif, toujours arrêté sur quelque
chose. Son nez, élargi à la base, par une déformation qui datait de l’enfance, enlevait à son visage ce qu’il aurait pu avoir de trop dur et le marquait d’une
certaine étrangeté.
Maria Van Rysselberghe
chose. Son nez, élargi à la base, par une déformation qui datait de l’enfance, enlevait à son visage ce qu’il aurait pu avoir de trop dur et le marquait d’une
certaine étrangeté.
Maria Van Rysselberghe
La division, la teinte pure, je ne les ai jamais considérées comme un principe d’esthétique, moins encore comme une philosophie, mais bien et uniquement comme un moyen d’expression. Dès que ce moyen me semble incomplet, ou pour mieux dire ma pensée, tyrannique, je modifie mon outil. Je suis en pleine évolution et j’utilise davantage mon instinct.
Théo Van Rysselberghe
Théo Van Rysselberghe
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