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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
"Y avait une institutrice
A Sainte-Anne de Quimperlé
Qui n'y voyant pas malice
Epousa un divorcé

Vive les culs bénis, ma mère
Vive les culs bénis
Vive les culs bénis, ma mère
Vive les culs bénis

Elle fut mise à la porte
Sans aucune hésitation
Faut pas de gens de cette sorte
Dans une bonne institution"
.
Comment dit-on "faux-cul" au féminin ? Hypocrite ? Madame Lepic ? Tatie Danielle ?
Qu'est ce qu'elle est hypocrite, Telcide !
De quoi s'agit-il ?
Arlette, 18, est la fille d'un parisien riche mais ruiné qui se suicide. Orpheline, elle est placée chez ses cousines du Pas-de-Calais, quatre vieilles filles de 35 à 60 ans , des culs-bénis, ces dames aux chapeaux verts !
Telcide, l'aînée, est la "pire", acariâtre et perfide :
"Je vous ferai plier", dit-elle à Arlette qui, à l'inverse, est la joie de vivre.
Les trois autres soeurs sont sous la coupe de l'aînée.
Mais Arlette découvre, dans la maison, un cahier intime, où il question d'un amour contrarié. de laquelle des quatre soeurs provient-il ? Arlette se met en devoir de réparer cette perte de temps entre l'une des soeurs et Hyacinthe, le professeur. Ce qu'elle n'a pas calculé, c'est qu'elle même va rencontrer l'amour avec un grand "A" !
Mais c'est sans compter avec l'orgueil imbécile de Telcide !
.
Plein d'humour et de rebondissements, ce livre donnerait une belle pièce de théâtre !
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Lu dans ma jeunesse. Et je m'en rappelle encore, c'est dire.
Désuet, romantique, un peu kitsch que cette histoire de quatre vieilles filles provinciales châpeautées de vert qui recueillent chez elles leur jeune et jolie cousine Arlette dont le père s'est suicidé.
Il y a la revèche,mais il y a la tendre aussi jadis amoureuse d'un instituteur.
Arlette, la curieuse découvre un journal intime qui pourrait bien réunir les deux tourtereaux. Et bien sûr, Arlette, elle aussi va rencontrer le grand amour!
Nous sommes bien loin ici de la vie intime de Catherine M. chroniquée ce matin, mais pour un sommeil peuplé de rêves en rose et bleu layette c'est pas mal du tout!
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un magnifique souvenir d'enfance
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Après la ruine et le suicide de son père, la jeune Arlette est recueillie par des vieilles cousines de province. Tout ce passe relativement bien jusqu'à ce qu'elle tombe sur un journal intime relatant une histoire d'amour contrariée vécue par une de ses cousines. Mais laquelle des trois? C'est ce qu'Arlette cherche à savoir afin de la remettre sur la route de la passion.
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J'ai retrouvé « Ces dames aux chapeaux verts », livre de 1952, date à laquelle je l'avais lu ; j'en gardais le souvenir d'un livre joyeux qui m'avait fait rire. Relu en 2016, ce livre est apparu bien triste : la vie provinciale étriquée de ces quatre femmes qui dans la logique de l'époque auraient du fondé des foyers. Leur situation est humiliante, et pour pallier, elles deviennent bigotes, habillées pareilles dans toute occasion, afin de se racheter d'une faute qui ne leur appartient pas. Marie, par la faute de sa mère n'avait pu se marier, au professeur Mr Hyacinthe c'est ce que découvre Arlette, orpheline, et confié par son frère à ses cousines : Telcide, Rosalie, Jeanne et Marie, vivant à Saint- Omer dans la maison familiale appartenant à Mr de Fleurville.
Telcide décide de tout et veut imposer son point vue à la jeune Arlette, parisienne pétillante d'imagination. Celle-ci emploiera tous les moyens qui sont disponibles pour faire renouer les deux anciens amoureux : Marie et Ulysse Hyacinthe, fait fléchir Telcide, et abouti au mariage. Tant est si bien que Telcide finit par se confier à Arlette et l'autorise à se marier avec Jacques de Fleurville
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Arlette, orpheline parisienne, est hébergée par quatre cousines célibataires dans le Pas-de-Calais, au tournant des XIXe et XXe siècles. Elle lit le journal intime d'une des "vieilles filles" dont un prétendant a été écarté par la mère 10 ans auparavant. En complotant pour réconcilier les amoureux, elle rencontre elle-même un jeune homme très attirant, tandis que l'aînée des cousines tente de la marier avec un parti plus raisonnable...
J'ai relu avec plaisir ce roman suranné, sachant que ma mère l'avait joué en club théâtre et que je l'avais aimé à l'adolescence. Petit plaisir nostalgique, mais pas un chef-d'oeuvre indémodable...
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Pareil! Je l'ai lu dans ma jeunesse, j'en ai un excellent souvenir mais je serais bien incapable d'en faire une critique!
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