Sexy summer

C'est grâce à la Masse Critique de Babelio (merci à vous) que j'ai découvert ce roman jeunesse.

Le sujet m'intéressait : l'hypersensibilité aux ondes. Je n'avais juste pas compris que ça allait être un sujet de fond. C'est dommage ! Je pensais que l'histoire serait tournée essentiellement sur ce sujet.

Ce roman traite surtout de l'amitié. Avec ses hauts et ses bas. de l'acceptation de l'autre. Sujet intéressant également mais que, si je l'avais compris plus tôt, je n'aurais pas sélectionné. La preuve, ça a finit par me lasser à quelques pages de la fin.

L'écriture est simple et efficace. le problème c'est qu'on ne retient pas grand chose en refermant ce roman. Il n'est pas désagréable à lire mais n'est pas non plus marquant.

#Rentréelittéraire10
Je remercie Babelio – via sa Masse Critique – et les éditions Flammarion de m'avoir permis de découvrir ce roman de la rentrée littéraire 2020.
Il s'agit ici de l'histoire de Juliette et de sa famille qui quittent la ville afin de rejoindre la campagne afin de fuir les ondes, néfastes pour l'adolescente.
Cette maladie des ondes est loin d'être le sujet principal, omniprésent dans cette histoire… et tant mieux!
Sexy summer est, surtout, un roman initiatique; le récit d'un été qui fera mûrir Juliette, la faisant définitivement quitter le monde insouciant de l'enfance.
C'est également une histoire d'amitiés qui se font et se défont, le tout sous un air de belgitude (le village semble imaginaire mais se situe dans le sud du pays, en Ardenne et, erreur souvent commise, non pas dans les Ardennes… qui, elles, sont soit flamandes, soit françaises mais certainement pas wallonnes!) et truffée de belgicismes (pantoufles, cramique et sucre impalpable pour ne citer que ceux-ci).
C'est un roman qui se lit facilement mais auquel il manque, selon moi, le petit quelque chose – une trame plus incisive, des personnages plus creusés ? – qui aurait pu le rendre inoubliable.
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