C'est une plongée au coeur de l'horreur nazie que
Martin Amis nous livre ici, il ne met pas les pieds dans la boue comme
Jonathan Littel dans "
les bienveillantes", seulement la banalité de la solution finale par ceux qui la font au quotidien, ce que
Hannah Arendt nommait "la banalité du mal" lors du procès d'Adolf
Eichmann à Jérusalem en 1963, c'est terrifiant.
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