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Critique de Tbilissi
Ces contes, nous les connaissons tous : la petite sirène, bien sûr, mais aussi les habits neufs de l'empereur, la princesse au petit pois (incroyablement court !), le vilain petit canard, la petite fille aux allumettes… Ou plutôt nous en connaissons les adaptations, diverses, variées, plus ou moins heureuses.
Quel plaisir donc d'en découvrir la version originale, poétique et féerique, mais aussi simple, voir naïve par fois.
On y trouve une grande variété de thèmes, avec du merveilleux, de l'anthropomorphisme, ou des histoires qui pourraient avoir eu lieu dans notre monde, même si l'on ne sait pas trop où ni quand. Et c'est justement cela le lien entre ces histoires de longueur et inspirations variées : leur côté universel. Et par une narration très esthétique ils nous livrent des leçons de vie sans être moralisateurs.
Pas de doute, ces contes méritent leur renommée et les nombreuses adaptations dont ils ont fait l'objet.
Quel plaisir donc d'en découvrir la version originale, poétique et féerique, mais aussi simple, voir naïve par fois.
On y trouve une grande variété de thèmes, avec du merveilleux, de l'anthropomorphisme, ou des histoires qui pourraient avoir eu lieu dans notre monde, même si l'on ne sait pas trop où ni quand. Et c'est justement cela le lien entre ces histoires de longueur et inspirations variées : leur côté universel. Et par une narration très esthétique ils nous livrent des leçons de vie sans être moralisateurs.
Pas de doute, ces contes méritent leur renommée et les nombreuses adaptations dont ils ont fait l'objet.
