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Citations sur Mayerling (45)

Marie avait enfin le plus précieux des dons, celui sans lequel tous les autres sont de peu de prix, la grâce qui appelle le désir des dieux et des hommes.
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— Puisque nous parlons aujourd’hui de sujets défendus, mon cher Szeps, avez-vous jamais réfléchi à ce que peut être la vie privée d’un homme comme moi ? Le plus pauvre bougre a le droit de choisir sa femme. « Il faut que chaque Jeannot trouve sa Jeannette » dit Voltaire. Mais pour nous autres, princes, la raison d’Etat décide… Et si je n’ai pas trouvé ma Jeannette ?… Tant pis, je suis bouclé jusqu’à la fin. Vous me direz que je puis avoir des distractions au dehors et qu’elles ne manquent pas. Parbleu, je le sais bien. Mais quand on a une femme querelleuse, ce n’est pas la distraction que l’on cherche hors de chez soi, c’est l’oubli… C’est un peu plus grave.
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" L'amour est un dieu exigeant, on ne marchande pas avec lui. Il est rusé aussi. Il demande ceci seulement, on le lui donne. Aussitôt il faut davantage. Finalement, on s'aperçoit qu'il ne se satisfera pas avant d'avoir tout." (p62)
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« Il appartenait à une race fine, sensible, trop faible pour supporter, non pas seulement le fardeau du pouvoir, mais celui de la vie, race d’êtres mélancoliques, inégaux à leur destinée, que parfois la folie emmenait loin du monde des humains. » (p5)
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La pire obligation du métier de prince est peut-être de dissimuler toujours.” (p28/29)
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- Est-ce une vie ? dit-il. Il n'y a pas une pièce dans ce palais où je puisse avoir la paix, pas un coin où je sois assuré d'être seul une heure. Ma femme - qu'elle aille au diable ! - ne me laisse pas souffler !” (p28)

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Nous nous battons en vain contre les années. Pour garder une ligne, que de combats ! mais ces joues rondes et enfantines, ces yeux vifs, cet ensorcellement, où les retrouver quand ils s’évanouissent !… Il n’y a de beau et de vrai que la jeunesse. (p140)
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— À dix-sept ans, j’étais mariée, et malheureuse déjà. Pourtant j’étais jeune, (p140)
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Avec la sagesse et l’expérience que vous avez accumulées, j’imaginais que vous me laisseriez trouver un genre de vie qui conciliât des devoirs contraires, ceux envers vous, ceux envers moi-même. (p155)

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“Eh bien, j'ai fait une découverte, oui, une grand découverte, c'est que je n'ai qu'une vie devant moi et que je veux être... j'ai presque honte de vous le dire car ce mot n'a peut-être jamais été prononcé ici... je veux être heureux.” (p155)
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