Kilomètre zéro

Je n'ai pas du tout adhéré à cette histoire !!!
Tellement pas crédible pour moi ! tellement trop cousue de fil blanc....
J'ai pourtant essayé, je me suis accrochée jusqu'à la moitié du livre pour voir si quelque chose pouvait me faire basculer, me faire y croire... Mais non vraiment pas.
La femme hyper citadine, à peine sportive, hypra connectée qui part à l'assaut de l'Himalaya ?!!!! Sans préparation, un équipement à peine évoqué, pour une raison qui fait penser à une fumisterie même si on se doute de la pirouette de la chose véritable.

Le roman part d'un bon sentiment : faire de ce monde un lieu meilleur où il fait bon vivre dans une douce harmonie. Malheureusement, la mise en pratique de ce partage d'Amour n'est pas aboutie et laisse un certain goût amer après sa lecture.
L'auteure use d'une intrigue dite de figuration pour y inclure tous les messages de bien-être qu'elle cherche à faire passer au lecteur. Messages qui, par moment, sont un brin moralisateurs allant ainsi à l'encontre d'un des conseils prodigués par les protagonistes : ne pas vouloir imposer sa manière de penser à l'autre, ne pas chercher à avoir raison. Chaque scène est ainsi source d'explications, tirant en longueur, pour inciter Maëlle à voir les choses différemment ainsi qu'à réagir d'une autre manière face à une situation donnée. Certaines de ces tirades sont des phrases toutes faites par lesquelles le lecteur peut être agacé à force de les entendre à tout va : (ex. : Seul ton coeur sait ce qui est important pour toi. En écoutant ce qu'il te dicte, tu sauras qui tu es.).
L'intrigue est portée par un personnage exaspérant dont la personnalité et les actes rebutent le liseur. Il est difficile voire impossible de s'y attacher contrairement à certains protagonistes croisés au gré de son aventure. Pour faire passer ses conseils de développement personnel, l'auteure a besoin d'une personne stéréotypée ; Maëlle est donc obnubilée par son travail et son téléphone en plus d'être superficielle, impolie, égoïste, pleine de préjugés et sans cesse dans le jugement. Cela n'est pas très engageant, sachant que d'autres défauts pointeront le bout de leur nez tout au long du voyage. Elle juge ainsi de manière agressive une dame qui ose se plaindre en prétextant ne pas aimer ce genre de personne alors qu'elle-même s'apitoie sans cesse et est autocentrée tout au long du roman. de plus, sa possessivité (MON italien) envers un homme qu'elle ne connaît que depuis deux jours ainsi que sa jalousie exacerbée rebutent le lecteur.
Le parcours de Maëlle n'est qu'un perpétuel recommencement : explication de son guide dont émane un changement en elle - elle se sent plus sereine - évènement la mettant en colère - explication de son guide - … (et ça repart). La protagoniste n'a de cesse de répéter que les derniers jours ont bouleversé sa manière de penser, mais elle réagit cependant toujours de la même manière à une situation nouvelle : ironie, jugement, mauvais caractère ou négativité. Et ce, du début à la fin du récit. Ce dernier aurait d'ailleurs pu être sans fin.
Une lecture dont le lecteur ressort agacé plus que reposé !
Les citations en tête de chapitre, tirées de références diverses et variées, sont cependant à souligner car bien choisies : elles ont un lien évident avec les propos contenus dans la partie concernée.
La positivité de ce roman repose sur l'intention initiale de l'auteure, synonyme de partage et de bienveillance.
Lien : https://livresratures.wordpr..

J'ai entendu parler de ce livre un peu partout depuis un moment déjà, mais toujours très frileuse face à ce type de roman, j'avais fait l'impasse.

Quelques personnes me relançant sur le sujet et me le conseillant, je me suis finalement résolue à le découvrir.

Bien mal m'en a pris…

Un pseudo roman de développement personnel au personnage principal fade et plutôt niais, des longueurs, une histoire plate et attendue, des dialogues pauvres et surtout des leçons de moral surfaites.

Même si l'auteur a tenté de construire un récit plausible où ces leçons s'intègrent dans la trame, j'ai plus d'une fois levé les yeux au ciel, agacée par tant de clichés cumulés.

Et puis surtout, j'y ai vu une pâle copie… que dis-je la version wish du classique de « la prophétie des Andes » saupoudré de citations toutes faites et de psychologie de comptoir.

Je peux cependant tout à fait comprendre que ce bouquin convienne à des personnes désireuses d'aborder la vie différemment, d'être dans l'écoute de soi, de déconnecter avec leur rythme de vie... même si je pense préférable de se diriger vers d'autres auteurs de « développement personnel » proposant un vrai contenu.

je pensais lire un roman de montagnes, d'aventures de voyages… pas du tout c'était du développement personnel et au bout de la moitié j'ai arrêté de lire… je suis déçue ! la couverture nous induit en
erreur sur le but premier de ce livre dont j'ai du mal à comprendre le succès…

Lu à un moment de ma vie où j'avais vraiment besoin de légèreté. J'ai été régulièrement partagée entre plaisir de lecture (ça se lit très facilement dans un train, une salle d'attente médicale, agacement (déroulement prévisible de certains passages, sujet du développement personnel, du choix abordé de manière bien plus fouillée par d'autres écrivains), envie de passer à un autre livre. Contente qu'il m'ait été prêté. Aucune envie de le conserver dans ma bibliothèque.

Oh que je me suis ennuyée ! Trop de moral : fais pas ci mais plutôt ça et la vie sera meilleure. Près de 300 pages pour dire que le bonheur, on l'a que si on le veut! Oh chouette, y a aussi une histoire d'amour... tout est calculé : pas de suspense. Bref que de longueurs pour un beau voyage (le Népal) mais je n'ai pas su rêver avec l'auteur. C'est dommage...

Une très grande déception et un grand loupé pour moi sur ce roman.
J'étais tellement attirée par ce roman dès que je l'ai vu en librairie que je me le suis procuré très rapidement et direct il est passé devant tellement d'autres de ma PAL pour être lu presque dans la foulée de son achat.
Je voulais tellement partir au Népal, tellement sentir les pas de son héroïne foulant les sentiers abruptes de l'Himalaya....mais ça ne l'a pas fait.
Je n'ai rien contre les livres de développement personnel mais je n'aime pas que l'on ne soit pas clair sur ce que le lecteur va découvrir et là c'est clairement du développement personnel caché dans un pseudo roman dont l'histoire est quand même abracadabrante.
Déjà un début complètement farfelu : vous en connaissez beaucoup vous des directrices qui quittent tout en 24h en laissant tomber patron, clients et dossiers pour partir à l'arrache faire l'ascension de l'Himalaya pour aider une copine malade du cancer à retrouver un mystérieux manuscrit qui serait le Graal pour sauver des millions de gens du cancer via une méthode ? Perso non....
Malgré ça, j'ai continué ma lecture me disant "ok, fais abstraction de ce coté complètement surréaliste et continue pour savourer le Népal".
Sauf qu'en guise de dégustation, j'ai eu une indigestion.
Alors encore une fois, un peu de développement personnel dans un roman ne me gène pas mais quand à chaque arrêt de l'ascension, on a droit à l'héroïne qui parle avec son guide devenu son gourou puis son "maitre" (elle l'appelle clairement comme ça au bout de 3 jours) et qui à chaque fois qu'il lui dit un truc aux antipodes de son monde et sa personnalité elle dit "je comprend" et applique tout à la lettre, moi ça a été de trop.
J'ai tenu jusqu'à un peu plus de la moitié du livre, soit presque 200 pages mais là non je n'en peux plus et même pas envie de lire jusqu'à la fin donc abandon pour moi.
Encore une fois cet avis n'engage que moi et mon seul ressenti pour ce roman qui a eu beaucoup d'avis positifs et son petit succès.

Ce livre m'a été assez agréable le premier chapitre, puis après, de plus en plus, j'ai senti la soupe venir.

La soupe de spiritualité orientale diluée au dev perso standard, agrémentée de neuroscience et de psychologie (et à grand renfort de citations...), pour que ça soit bien consistant, homogène et que ça se conserve bien. Sauf que le goût est passable, tantôt trop fade tantôt trop épicé, et qu'on fini soit par s'étouffer avec soit par vomir, si ce n'est pas la chiasse qui nous attend si on s'est forcé à tout avaler...

En bref je trouve ça très artificiel. Autant dans Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n'en as qu'une, le ton très léger et l'écriture très fluide de l'auteure (Raphaëlle Giordano) rend cela plus ou moins digeste et même amusant, autant là c'est plutôt pesant et ennuyeux.

Saluons quand même les efforts et les louables intentions de l'auteure, il serait injuste de les passer sous silence sous prétexte que son livre n'est pas à mon goût. Nous n'aimons pas tous les mêmes soupes, voilà tout... :)

Je pense être totalement passée à côté de ce roman que j'ai personnellement trouvé très creux et reprenant les ficelles habituelles de ces livres de développement personnel prenant comme support une histoire 'vraie'. L'écriture est, à mon goût, assez édulcorée et je n'ai vraiment pas réussi à profiter de cette lecture, légère et fort creuse (pour moi, une fois de plus).

je ne suis pas fan des livres de développement personnel, encore moins des romans maquillés... je les trouve peu subtiles et ça m'irrite, ça me donne l'impression que l'auteur m'infantilise, me prend de haut. et ici, avec ce kilomètre zero et ben, on est en plein dedans. une fausse histoire, tarabiscotée, avec des personnages tombés de nulle part, comme les situations capilotractées. Pas d'authenticité dans le récit, pas de corps aux personnages, même les beaux paysages sont plats... et pourtant on est sur les contreforts de l'Annapurna. Maelle est caricaturale... poussif...
alors alors... pourquoi l'ai-je lu? pourquoi ai-je continué ? bonne question... peut-être parce que je traverse une période de grande fatigue et où je n'arrive plus à me recentrer. et j'ai puisé quelques réflexions qui m'ont aidées à voir les choses un peu autrement. certaines idées développées sont intéressantes et que j'essaierais de garder dans ma vie de tous les jours. pour le reste...