Saint-Thomas d'Aquin

C'est là un élément essentiel : selon saint Thomas, "la foi ne s'oppose pas à la raison, par conséqent elle ne désavoue pas la raison, comme si elle détruisait l'authentique raison." La foi ne rend pas caduque et ne rabaisse pas la capacité rationnelle, mais elle la présuppose et la développe [idée partagé par le bouddhisme!] "en effet, la loi présuppose la connaissance naturelle, comme la grâce présuppose la nature et la perfection le perfectible."

Saint THomas adhéra immédiatement à la volonté de saint ALbert le Grand de réhabilité le naturalisme aristotélique et s'efforça de le concilier avec une spiritualité dans le droit fil de saint Augustin ( 354-430), fondée sur l'introspection sur la conaissance de soit et sur sa réalité sirituelle en tant qu'image de Dieu. Ce projet devint donc une tentative de synthétiser la raison et la foi.

Chapitre 1 une pensée pionière : entre raison et foi.
Saint THomas était convaincu de la capacité de la raison humaine à connaître la réalité naturelle, mais il pressentait pardoxalement que la question du sens de la vie impliquait d'aller bien au-delà de cette connaissance.

Comme il [Saint Thomas d'Aquin] le dit lui-même : " S'il est chose plus belle que de contempler la vérité, c'est bien de la contempler et de la transmettre aux autres. " [a rapprocher de la transmission du BOuddha après son illumination, sous forme de trois enseignements...]

Dans le drooit fil de ce qui précède, saint Thomas s'opposa dans ce domaine aux spiritualisme platonicien augustinien, qui selon lui appauvrissait grandement l'être humain puisqu'il omettait sa dimension corporelle. [note de Pégase Shiatsu tenir compte de son coprs sera retrouver dans les philosophies bouddhistes, et taoistes... le corps est une réalité... en cela, il se rapproche des conceptions asiatiques, le corps est réel, il ne peut être nié même au profit d'un mystère, même s'il ne doit pas être idolâtré...]

Saint Thomas vicut au treisième siècle, une époque particulièrement agitée. Les érudits mettent généralement en exergue l'irruption, à cette époque, de deux mouvements à l'influence phénomènale qui semblaient capable de déclencherr une véritable révolutioon à même de mettre un terme à l'ordre pécaire hérité des siècles précédents. D'un côté sont apparus les ordres mendiants, qui défendaient une religiosité du renoncement et de lla pauvreté radicale, [noote de Pégase SHiatsu voir la dispute dans le nom de la Rose, excellent film, où deux ordres de moines se disputent pour savoir si le Christ possédait ou non son manteau.] et de l'autre ont été réhabilité les ouvrages d'Aristote, qui étaint parfaitement inconnus en EUrope.

Les préjugés s'éffacent quand l'ignorence est surmontée.[note de Pégase Shiatsu : cela veux dire accpeter la justesse d'un propos, et âs sous noter des livres parce qu'on cherchait autre chose que ce qui s'y trouve... cela commence à bien faire... quand on veux rester étroit d'esprit on ne lit pas... ou du moins on ne juge pas on ne s'exprime pas!! Parfois même la critique est élogieuse et on a une ou deux étoiles... mais c'est notation devrait être réservé à des oeuvres dont on se demande pouyrquoi elles sont édité, pas mis par jalousie enverrs la réussite de l'écrivain et pour s'entêter sur des aprioris débiles, cette fois c'est les Quattres filles du Docteurs Martch... un grand classique pour les filles et les inciter à être indépendante malgré une société encore sectaire.... malgré les progrès moderne... et bien il y en a marre... Quand on ne veux pas s'ouvrir on ne lit pas!! ou au moins on ne s'exprime pas... on en a marre de ces gens là qui réglent leur médiiocrité et leur laxisme en s'en prennant à des gens de talent!! Merci à Babelio qui soutient cela alors que cela engendre du chomage d'universitaire... et démolit notre littérature... et notre cinéma... à la fin il y en a marre... ne pas utiliser sa tête cela ne veut pas dire être un sage!! Un sage est forcément un léttré... et après c'est des gens ouverrts que l'on accuse d'être étroit d'espirt... et bien il y en a marre... au XXIe siècle on ne devrait plus pronner la liberté du droit au crétinisme... cela commence à bien faire....]

Dans mille ans, que penseront de nous les historiens du futur qui, pour nous cerner se baseront uniquement sur les nootes consignées dans un carnet par un détenu d'AUschwitz pour raconter son emprisonnement ? A l'évidence, les oeuvres de la trempe du Journal d'Anne Franck ne parviennent pas à saisirr la complexité d'un siècle agité et pétri de contradiction comme l'a été le XXe siècle. [...]
C'est pourtant ce dont est victime le Moyen Âge, à peu de chose près. Il est étonnant de constater que les poncifs typiques des films et séries de seconde zone se soont également immisciés dans les manuels scolaires ou autres ouvrages en apparence rigoureux, qui dépeignent un Moyen Âge lugubre, nauséabond et obscur (uniquement éclairé par les brasiers où sont brûlées les victimes de l'inquisition et où règne la barbarie. Un Moyen Âge ou les rats et la peste noir prolifère où le poid terrible du christianisme étouffe chaque embryon de réflexion et entrave toute manifestation véritablement humaine. [...]
Se familiariser avec Saint Thomas d'Aquin peut aider à se débarasser de ses lieux communs réducteurs. [note de Pégase SHiatsu : on pourrait aussi citer Saint François d'Assise]

Pour saint THomas, l'être humain ne doit jamais être instrumentalisé par la science ou la technique : c'est même le contraire, autrement dit le but même de la recherche scientifique est de servir l'humain pour qu''il puisse s'améliorer et tendre vers son objectif ultime. D'après le philosophe, la science doit être au service de l'humain, et non pas l'inverse.

Partant de cette philosophie de l'être comme fil conducteur, le cinquième chapitre se penche sur la façon dont saint THomas aborde le mystère de Dieu, notamment à travers les fameuses cinq voies. Pour en comprendre lle sens, nous analyseroons la double coonviction à partir de laquelle le philosophe déploie sa théorie sur l'existence et les attributs divins : tout en insistant sur la valeur de lla aison humaine, il défeend le caractère surnaturel d'un mystère quil s'avère impossible de réduire à des raisons nécessaires.