Kierkegaard... voilà une énigme... Si on cmpend asse l'universalité e
Spinoza... Sur
Kierkegaard il ne faut pas avoir peur des questions qui nous poussent dans des impasses....
S'opposant au système, surtout à la religion chrétienne... en tout cas la religion chrétienne mécanique qui ne forme pas de vrais chrétiens mais des robots qui entrent dans le moule d'un système sans se poser la vrai question de
Kierkegaard, suis je un vrai chrétien? En terme d'individu qui suis je, que sais je? qu'est ce que j'apporte à la société...
Kierkegaard nous impose à nous intérroger sur nous même et c'est une voie semée d'embuche que l'on n'a pas envi forcément de prendre... la voi de
SPinoza semble plus douce : dans l'action avant tout on ne s'interroge que pour
l'éthique...
Mais quand naissent des
Kierkegaard, c'est que le système est trop rigide, surtout face aux exclus... le système est fixé dans sa rigidité, il n'arive pas à voir ses propres irrégularité... comme c'est actuel au vu du nombre de chômeurs et d'handicapés que l'on fabrique même parmis les universitaires à coup d'antidépresseurs et d'aides sociales pour les mouler de force dans un individu parfait, homogène.... mais pas bon à grand chose...
Et cela me rappel à un maître bouddhiste, dont on n'a pas donné le nom, on ne site en général que les plus grands; qui imposait des lois contraires pour faire éclater cette rigidité où tout était fait mécaniquement : on ferme son vètement dans l'autre sens, le maître provoque le discipliple jusqu'à la colère... on brise toutes les règles pour d'avantage de souplesse... A-t-il vraiment exister? Dans le fond ce n'est pas important... ce n'est peut être qu'une paabole ou peut être pas... c'est sans importance... Alors
Kierkegaard ironise sur le systhème... tel un Soocrate qu l'a payé de sa vie... et oui, la raison de la rupture de sa promesse de mariage est peut être là... le sacrrifice pour briserr un système qui trop rigide n'évolue plus se fige et cré des exclus au lieu de libéré l'individus; lui rendre son individualité ne serait-ce que par le travail, et sur son chemin tracé en tant que médtant, peut importe la religion, son chemin en tant qu'être compassionnel, qui peut être tout sauf mécanique...
Kierkegaard nous dit entre l'hédoniste qui profite de la vie et le saint qui donne où en es tu???? Et oui, c'est une dure questioon que chaque individus pourra se poser à lui même mais qu'on ne peut imposerr... c'est à chaque de décider d'y répondre ou non... et
Kierkegaard a choisi d'y répondre... jusqu'à visiblement refuserr totue vie matrimoniale avec la femme qu'il aime... Et oui... qui'il est dur de comprendre les saints et les plus grands phylosophes... là c'est difficile de savoir si la déformation accidentel de son corps, faisant de lui un être diforme a été pris pour un signe du destin... lui qui n'avait pas a attenre les lendemains qui chantent, son père visiblement y avait pourvu.... et peut être que oui sa diformité a été un signe pour lui de faire le sacrifice ultime de Socate... aller savooir... toujours est-il que ce philosophe n'est pas pour tous... il est pour ceux qui veulent aller jusqu'au bout du chemin de la sainteté et du message d'écrivain jusqu'à l'ouublie de toute vie terestre, même si cela fait souffrir l'être cher... Donc un philosophe très interressant, sauf si vous voulez une réponse clair.... clair la réponse, c'est l'autoquestioonnement, où en suis je de mon chemin, et que vais je faire de ma vie... Vaste prrogramme à réactualisé tout les jours en focntion des circonstances... et malgré la présentation difficile particulèrement de ce philosophe, la série Apprendre à philosopher, nous fait comprenre l'essentiel, ou du moins un peu... Car à la vérité, à la fin dde notre vie... on le sait nous sommes seul face à nous même et facce à la réalité ultime.... que certains appellent DIeu....