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Critique de FabtheFab
Jérôme Attal est un écrivain, parolier et scénariste connu. Il a écrit des chansons pour Johnny Hallyday, Vanessa Paradis, Eddy Mitchell ou Florent Pagny. Il a écrit des scénarii pour Arte et a joué dans ses propres films.
Alcie & la forêt des fantômes chagrins est la seconde collaboration de Jérôme Attal avec Fred Bernard après La Princesse qui rêvait d'être une petite fille.
Le papa d'Alcie est contacté par un réseau social par sa soeur Oupelaoupe qu'il n'a jamais connue, son père ayant quitté sa mère quand il avait trois ans. Oupelaoupe l'invite à passer une semaine pendant les vacances de la Toussaint dans le camping qu'elle gère au bord d'un lac. Arrivés sur place, les parents d'Alcie sont rappelés à leur travail en urgence et Alcie doit passer une semaine chez sa tante avec son cousin TractoPaul, un adolescent boulimique et fan de jeu vidéo. le camping est vide, le lac est asséché et la forêt est peu à peu détruite par une immense machine. Alcie va rencontrer Hugo, le fils de Baxter Drummond, un milliardaire qui veut construire un golf pour milliardaires avec un immense hôtel et détruit toute la nature.
Ce roman ne brille pas par sa légèreté. le ton est volontairement désinvolte, l'humour potache et les messages appuyés voire caricaturaux. Les gamers sont présentés comme des décérébrés. La leçon d'écologie est pesante. Et les images des fantômes de chagrin qui traduisent la tristesse ou la joie des deux héros en fonction de leur humeur finissent par lasser. Nous avons l'impression que Jérôme Attal a voulu s'inspirer des romans déjantés de Roald Dahl ou David Walliams mais il y manque la sophistication so british même dans les blagues les plus enfantines. Comment Fred Bernard a-t-il pu s'associer à un tel projet ?
Alcie & la forêt des fantômes chagrins est la seconde collaboration de Jérôme Attal avec Fred Bernard après La Princesse qui rêvait d'être une petite fille.
Le papa d'Alcie est contacté par un réseau social par sa soeur Oupelaoupe qu'il n'a jamais connue, son père ayant quitté sa mère quand il avait trois ans. Oupelaoupe l'invite à passer une semaine pendant les vacances de la Toussaint dans le camping qu'elle gère au bord d'un lac. Arrivés sur place, les parents d'Alcie sont rappelés à leur travail en urgence et Alcie doit passer une semaine chez sa tante avec son cousin TractoPaul, un adolescent boulimique et fan de jeu vidéo. le camping est vide, le lac est asséché et la forêt est peu à peu détruite par une immense machine. Alcie va rencontrer Hugo, le fils de Baxter Drummond, un milliardaire qui veut construire un golf pour milliardaires avec un immense hôtel et détruit toute la nature.
Ce roman ne brille pas par sa légèreté. le ton est volontairement désinvolte, l'humour potache et les messages appuyés voire caricaturaux. Les gamers sont présentés comme des décérébrés. La leçon d'écologie est pesante. Et les images des fantômes de chagrin qui traduisent la tristesse ou la joie des deux héros en fonction de leur humeur finissent par lasser. Nous avons l'impression que Jérôme Attal a voulu s'inspirer des romans déjantés de Roald Dahl ou David Walliams mais il y manque la sophistication so british même dans les blagues les plus enfantines. Comment Fred Bernard a-t-il pu s'associer à un tel projet ?
