De nombreux lecteurs ont comparé ce pavé à "
1984" de
George Orwell. N'étant pas amateur de romans de science fiction en général, ni de "dystopie" en particulier, je ne me sens pas fondé à émettre une critique objective de ce "chef d'oeuvre de
Margaret Atwood" comme le qualifie la 4 ème de couverture de "
C'est le coeur qui lâche en dernier".
Il n'en est pas moins vrai que ce roman m'a terriblement ennuyé.
Le modèle de société proposé n'est que très sommairement décrit, et j'avoue ne pas y avoir compris grand chose !
De plus, les personnages et leurs "alternants" sont (inutilement) affectés de plusieurs noms, ce qui ne facilite pas la compréhension de l'histoire.
L'aspect totalement farfelu de certains détails m'a permis de "tenir' jusqu'à la 200 ème page. Mais trop de farfelu tue le farfelu... et j'ai été contraint d'abandonner Stan et Charmaine, leur prison dorée et leurs déboires ridicules !
Il faut dire, qu'en plus, le style d'écriture est pénible à lire et que la traduction est souvent défectueuse...
Finalement, notre modèle de société semble avoir encore de beaux jours ! Et pourtant...
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