Florence Given : « women are constantly expected to be « Nice ». What that really means is « perform emotional labour for free ».
Si vous n’essayez pas, vous vous empêcher peut-être d’échouer, mais surtout de réussir
Commencez à considérer votre corps pour tout ce qu’il peut faire. Il vous fait rire. Il vous fait ressentir. Il vous fait prendre du plaisir. Il vous fait découvrir. il vous fait vivre. Quand nous changeons de perspective sur notre corps et que nous commençons à le considérer pour ce qu’il est capable de faire et de procurer, et pas juste pour ce à quoi il ressemble, la révolution peut commencer.
Nous pouvons commencer à le chérir plutôt qu’à le détester.
Nous pouvons commencer à le remercier plutôt qu’à le critiquer.
Nous pouvons commencer à vivre plutôt qu’à essayer de le cacher.
Mes sis, s’il y a un message que je souhaite que vous reteniez de ce chapitre c’est : on ne vit qu’une fois.
On ne peut pas revenir en arrière pour l’âgée les crumble de notre grand mère une good qu’elle ne sera plus là.
Une des réalisations qui m’a le plus aidée à me réconcilier avec la nourriture c’est celle ci : de quoi nous souviendrons nous quand nous serons sur notre lit de mort ? […] Ne passez pas à côté de 99% de votre vie pour peser 1% de moins m. Votre poids ne vous déifiait pas. Votre valeur ne change pas avec votre poids. Le corps change, évolue, c’est normal, ce n’est pas un objet, c’est un sujet. En fait, c’est vous. Et vous n’avez pas à passer votre vie en guerre contre vous même.
C’est assez dingue, quand on y pense, que nous ayons été amenées à réduire notre corps à son enveloppe. Quand vous recevez une lettre, une carte postale, vous vous attardez plus sur quoi, son contenu ou son contenant ? Vous vous souciez plus de l’apparence de l’enveloppe, si elle est fine, épaisse, lisse, rugueuse : si son pli est parfaitement exécuté ? Ou vous vous préoccupez peu de ce à quoi elle ressemble et vous êtes plus intéressée par sa substance que par son apparence ? Arrêtez de vous considérer comme une vulgaire enveloppe. Vous êtes une putain de lettre.
pour reprendre les termes d’Erin McKean, vous ne devez à personne d’être belle. Ça ne définit pas votre valeur. Et que si ça rend quelqu’un inconfortable de voir vos poils ou vos cernes, c’est son problème, pas le vôtre
auto-objectivation : « le fait, notamment chez les femmes, d’adopter un regard extérieur sur son corps, de le traiter comme un objet décoratif ou sexuel, plutôt que de le considérer comme étant un moyen de ressentir des sensations corporelles »
[…] je me souciais plus de ce à quoi je ressemblais, plutôt que de ce que je ressentais
nous sommes « trop » uniquement dans le regard des gens qui ne sont « pas assez »
[…] les deux instruments qu’utilise la société patriarcale pour maintenir le statut quo : la valorisation quand on préforme ce qui est attendu de notre genre (la récompense), la honte quand on est sort (la sanction)
Dès notre plus jeune âge nous intériorisons que « faire plaisir » - aux autres bien évidemment, pas à soi-même - est notre devoir