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Citations sur Lettres sur le Yoga, tome 3 (7)

La tranquillité est un état dans lequel il n’y a ni agitation ni trouble.

Le calme est un état de tranquillité et inébranlable qu’aucun trouble ne peut affecter ; c’est un état moins négatif que la tranquillité.

La paix est un état encore plus positif ; elle porte en soi le sens d’une délivrance et d’un repos stables et harmonieux.

Le silence est un état où il ne se produit pas de mouvements du mental ni du vital, ou dans lequel règne une grande immobilité qu’aucun mouvement de surface ne peut percer ni altérer.
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Le silence est plus important que la tranquillité.
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Seulement dès qu’il y a paix et silence mental, le vital du mental essaie de se précipiter pour occuper la place, ou bien le mental mécanique essaie, dans le même but, de soulever sa ronde de pensées habituelles et triviales.
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C’est une relation plus grande et plus intime que la relation entre Gourou humain et disciple qui relève d’un idéal mental plus limité. Néanmoins si l’intellect a encore besoin de cette conception mentale, qui lui est plus familière, elle peut être conservée tant qu’elle est nécessaire.
Seulement, ne permettez pas à l’âme de s’y attacher, ne laissez pas cette conception mentale restreindre l’afflux d’autres relations avec le Divin et de formes d’expérience plus vastes.
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La relation entre Gourou et disciple n’est qu’une l’une des nombreuses relations que l’on peut avoir avec le Divin et dans notre yoga, où le but est une réalisation supramentale, il n’est pas habituel de lui donner ce nom.
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La sâdhanâ se fonde sur le fait que la transformation de la nature inférieure s'effectue par une descente de Forces venant des plans supérieurs, et par une ascension de la conscience inférieure jusqu'aux plans supérieurs; mais naturellement cela prend du temps et la transformation complète ne peut s'opérer que par la descente supramentale.
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Dans l'être humain, qui est le mental incarné dans la matière vivante, toute la conscience doit s'élever afin de s'unir à la conscience supérieure; il faut aussi que la conscience supérieure descende dans le mental, dans la vie, dans la matière. Ainsi, les barrières seront renversées et la conscience supérieure pourra prendre en main la nature inférieure tout entière et la transformer par le pouvoir du Supramental.
La terre est un champ matériel d'évolution. Le Mental et la Vie, le Supramental, saccidānanda, sont en principe "involués", contenus dans la conscience terrestre; mais seule la matière s'organise tout d'abord; puis la vie descend du plan vital pour donner une forme, une organisation et une activité au principe de vie dans la matière, elle crée la plante et l'animal; ensuite, le mental descend du plan mental et crée l'homme. À présent, le Supramental doit descendre afin de créer une race supramentale.
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