Dès que j'ai eu achevé
Illusions perdues, je me suis jetée sur
Splendeurs et misères des courtisanes, le 3ème roman de la trilogie
Vautrin.
J'ai retrouvé avec plaisir une bonne partie des personnages de
Illusions perdues, même si l'atmosphère est plus pesante avec l'omniprésence oppressante de
Vautrin.
Elément étonnant, à la 543ème page, on sait que l'on ne parlera plus de 2 des personnages principaux...
Reste plus de 180 pages pour parler de qui ? de
Vautrin, personnage auquel, à mon grand étonnement, on finit par s'attacher.
On peut aussi prolonger le plaisir avec le film
Vautrin de 1943.
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