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Citations sur Sur Catherine de Médicis (31)

Jamais Catherine n’alla plus directement à son but que dans ces inventions par lesquelles elle paraissait s’en éloigner. (page 247)
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Il y a toujours un moment où le génie lui-même sent sa petitesse en présence des grandes catastrophes. (page 175)
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À chaque pas qu’on fait dans ce pays d’enchantements, on découvre un tableau dont la bordure est une rivière ou un ovale tranquille qui réfléchit dans ses profondeurs liquides un château, ses tourelles, ses bois, ses eaux jaillissantes. (page 103) - sur la Loire en Touraine
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Alors comme à présent, le prix excessif provoquait la consommation, car la vanité ne connaît pas d’obstacles. (page 67)
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Tout pouvoir, légitime ou illégitime, doit se défendre quand il est attaqué ; mais, chose étrange, là où le peuple est héroïque dans sa victoire sur la noblesse, le pouvoir passe pour assassin dans son duel avec le peuple. (page 18)
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Toute révolte est, ou le manteau sous lequel se cache un prince, ou les langes d'une domination nouvelle.
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Lors de la Saint-Barthélemi, la populace fit au cadavre de Coligny, qui resta pendu pendant trois jours à Montfaucon, une horrible épigramme en lui mettant un cure-dents grotesque à la bouche. Les chroniqueurs ont enregistré cette atroce plaisanterie.
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Quelque jour, des écrivains à paradoxe se demanderont si les peuples n'ont pas quelquefois prodigué le nom de bourreaux à des victimes
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Catherine de Médicis jugea prudent de paraitre plus sévère que les bourreaux envers son complice : « allez toujours, car après tout ce n’est qu’un hérétique » […] Elle le contempla froidement. De cette épreuve solennelle dépendait pour cette femme ambitieuse tout son avenir : elle éprouvait une vive admiration pour le courage de Christophe, elle le regardait sévèrement ; elle haïssait les Guise, elle leur souriait »
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« J'étais calme et froide comme la raison même. J'ai condamné les huguenots sans pitié, mais sans emportement. Ils étaient l'orange pourrie de ma corbeille. Reine d'Angleterre, j'eusse jugé de même les catholiques, s'ils y eussent été séditieux. Pour que notre pouvoir eût quelque vie à notre époque, il fallait dans l'Etat un seul Dieu, une seule foi, un seul maître. Heureusement pour moi que j'ai gravé ma justification dans un mot. Quand Birague m'annonça faussement la perte de la bataille de Dreux : « Eh bien! nous irons au prêche !... » m'é¬criai-je. De la haine contre ceux de la religion !... Je les estimais beaucoup et je ne les connaissais pas. Si je me suis senti de l'aversion pour des hommes en politique, ce fut pour le lâche cardinal de Lor¬raine, pour son frère, soldat brutal. Voilà quels étaient les ennemis de mes enfants !... Je les voyais tous les jours, ils m'excédaient. Si nous n'avions pas fait la Saint-Barthélemy, ces misérables l'eus¬sent accomplie à l'aide de Rome et de ses moines ; et la Ligue, qui n'a été forte que de ma vieillesse, eût commencé en 1573 »
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