L'avenir n'est jamais radieux chez
Barjavel.
Dans "
La tempête", la moitié de l'humanité périt (finalement c'est deux fois moins que dans "
Ravage").
Alors qu'un génie polonais, Olof, s'apprête à anéantir l'autre moitié, une jeune américaine, Judith, sauve la Terre.
Tout commence dans l'amour (grâce à Helen, la Love Molécule) ...
et tout finit dissous dans le soleil (il doit y avoir un message, mais il m'échappe).
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