J’aime tellement votre beau sourire. J’aime votre douceur et votre tendresse. Et je suis bien, je suis heureux près de vous. J’aime vous regarder, j’aime vous écouter… j’aime vous serrer dans mes bras, vous embrasser et… Est-ce cela, aimer ? Hélas, je n’en sais rien.
je dirai que c’est là notre pitoyable condition humaine : douter, ne pas savoir, ne jamais être sûr de rien, alors que nous avons un besoin vital de certitude.
Ce qu’ils avaient vécu jusqu’ici, leur attirance réciproque, leur douloureuse séparation suivie du bonheur de se retrouver, les avait mûris.
j’ai souffert de votre abandon, mais vous n’avez rien à vous faire pardonner, et je suis sans doute fautive aussi.
Presque deux ans, c’est long et il peut s’en passer des choses.