Accepter la mort, c'est se libérer d'une souffrance morale.
NDL : c'est un Esprit qui parle.
Une dame vient en consultation et, dans un échange médiumnique avec l'esprit de son fils, celui-ci demande à sa mère de visiter un neurologue.
Le médecin découvrira une tumeur au cerveau.
(Lors de l'EMI ):
Es-tu prêt à revenir sur terre ? Tu dois y repartir.
Je lui répondis : " Non. pourquoi y retourner ? Je suis bien ici.
"Tu as autre chose à faire. Regarde...
Malgré ces preuves de survie, , certaines personnes, lors des réunions publiques, refusent de croire qu'elles proviennent de l'esprit lui-même, criant à la supercherie !
Ce sont tes derniers instants de vie au service de réanimation que tu me faisais revivre grâce à Alain Joseph Bellet. Tu y avais été admise pour insuffisance respiratoire. Il y avait une pendule face à son lit de souffrance. Il était 22 heures ce 5 juin 2013 : appel de l'hôpital. La tension ne remonte pas et le médecin est très inquiet. Je pars en catastrophe. Tu ne vas pas bien du tout. Je te regarde. Je te parle. On ne se quitte pas des yeux. J'essaie de te transmettre ma force. Je regarde l'écran en permanence et ta tension baisse toujours. Je t'embrasse, je te caresse. Je te parle. Toutes tes forces, tes peurs, tes angoisses, je les lis dans ton regard. Tes yeux sont cernés, tu transpires, tu as du mal à respirer. J'essuie ton visage, je te prends par les épaules, je te supplie de te battre. Et puis brusquement, ton regard se voile et ne me fixe plus. Les alarmes du monitoring se déclenchent : électrocardiogramme plat et tension nulle. L'infirmière arrive en me disant : "C'est fini. Elle respire encore, mais ce ne sont que des spasmes." Tes yeux se sont fermés, tu as froncé les sourcils comme si tu semblais encore vivante, mais en souffrance. Je suis dévastée, je t'embrasse, je te secoue par les épaules, je n'y crois pas, j'ai envie de hurler. Tu es partie, il est 23h 50.
Difficile pour Pierre-Jacques, qui a consacré son temps à acquérir des biens et à jouir des plaisirs de ce monde, de ne plus penser à vouloir bénéficier de ce confort et d'assouvir ses besoins après sa mort.
NDL : je comprends maintenant : "Les premiers seront les derniers." ( Matthieu ).
Il convient de s'interroger sur l'attitude à adopter lorsqu'on traverse l'épreuve d'un deuil. Les guides nous demandent d'intégrer la notion d'éternité à nos pensées, d'avoir la foi, de réaliser que cette séparation n'est que temporaire ; il nous sera alors plus facile de trouver la paix. Étant reliés les uns aux autres, il nous faut donc nous entraîner à être dans l'acceptation. En réalité, bien souvent, les bons esprits nous expliquent que ce refus souligne un défaut de connaissance, de foi et d'évolution spirituelle. Comprendre permet d'accepter.
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A la veille de faire ce long voyage ( la mort ) qui nous ramènera à notre véritable foyer, nous nous posons tous la question de savoir comment cela va se passer pour nous.
NDL : notre maison est là-haut.
Sur Terre, nous sommes en transit : nous accomplissons notre (nos ) mission, et retournons là-haut, chez nous.
L'âme incarnée sur terre peut stagner, se créer des dettes karmiques, et repartir dans le monde des esprits aussi pauvre qu'à son arrivée sur terre.
Les esprits d'un niveau spirituel inférieur ne connaissent pas immédiatement ce réconfort.
NDL : ça, c'est pour François de Rugy et bien d'autres : AJ Bellet évoque ici l'accueil dans l'au-delà ; ceux qui ont fait des "bêtises" sur terre, on leur tape sur la tête quand ils arrivent là-haut. C'est le jugement dernier. Ce n'est qu'après avoir reconnu leur "bilan de vie" qu'ils sont accueillis par leurs proches.