Le numérique avait ses limites. Rien selon lui ne remplaçait un bon vieux bouquin, sa présence physique, l’odeur qui s’échappait du papier imprimé, la sensation du doigt qui effleure les pages les unes après les autres.
L'amour. Ce sentiment destructeur. Typiquement humain. Cette saleté qui vous rend fou et vous arrache le cœur.
La simple idée de vivre m’avait toujours paru difficile. Vivre. Un concept subjectif de nos jours. Je dirais survivre plutôt.
My good, sorry ! Je suis désoulay, je vous ai brûlay ! brailla l’Anglaise blanche à rendre jaloux un cachet d’aspirine.