« Avoir une foi claire, selon le credo de l’Église est souvent qualifié aujourd’hui de fondamentalisme. Tandis que le relativisme, qui consiste à se laisser balloter et « emporter à tout vent de doctrine », semble la seule attitude acceptable selon les critères d’aujourd’hui. Nous allons vers une dictature du relativisme qui ne reconnaît rien comme certain et ne retient comme critère ultime que son propre ego et ses propres désirs.
Toute action doit être précédée par une intense vie de prière, de contemplation, de recherche et d’écoute de la volonté de Dieu.
Vous tous, prêtres cachés et oubliés, vous que la société méprise parfois, vous qui êtes fidèles aux promesses de votre ordination, vous faites trembler les puissances de ce monde. Vous leur rappelez que rien ne résiste à la force du don de votre vie pour la vérité. Votre présence est insupportable au Prince du mensonge
« Que l’Église ne soit pas notre institution mais l’irruption de quelque chose d’autre, cela a pour conséquence que nous ne pouvons jamais simplement la fabriquer nous-même.
Les fidèles n’attendent qu’une chose des prêtres : qu’ils soient des spécialistes de Dieu.
La lecture de l’Ecriture sainte est prière, elle doit être prière, elle doit naître de la prière et conduire à la prière.
À tous je veux rappeler : l’expérience de La Croix révèle la vérité de notre vie. - Cardinal Robert Sarah -
Une vie selon le monde ne peut produire dans une âme sacerdotale qu’un sentiment d’incohérence, d’incomplétude et d’écartèlement. « Nul ne peut servir deux maîtres » (Mat 6, 24).
Le mot "saint" exprime la nature particulière de Dieu. Lui seul est le Saint. L'homme devient saint dans la mesure où il commence à être avec Dieu. Etre avec Dieu, c'est écarter ce qui est seulement le moi et devenir un avec le tout de la volonté de Dieu. Cependant, cette libération du moi peut se révéler douloureuse, et n'est jamais accomplie une fois pour toutes.
Qui pourrait imposer une charge aux autres sans en aimer le sens profond ? Ne serait-ce pas une forme de pharisaïsme ?