Le roi condamne aussi l’ivrognerie, la prostitution, le blasphème… Mais son principal cheval de bataille consiste à épurer les procédures judiciaires, qu’il souhaite les plus équitables possibles. Ainsi, Louis IX met fin aux ordalies, ces épreuves divines auxquelles on pouvait soumettre les accusés afin de révéler leur culpabilité. Par exemple, il était d’usage de contraindre un suspect à saisir une barre de fer rougi, puis d’examiner la cicatrisation de la brûlure pour déterminer la sentence. Cette pratique est d’ailleurs à l’origine de l’expression « en mettre sa main au feu » !
(à propos de Liane de Pougy) Son tableau de chasse n'a rien à envier à la belle Otero : Édouard VII, Léopold II, Alphonse de Bragance (frère du roi de Portugal Charles Ier), le maharadjah de Kapurthala (qui lui propose de devenir l'une de ses épouses), le marquis de Mac-Mahon (qu'elle mettra sur la paille), le richissime éleveur de chevaux Evremond de Saint-Alary, l'auteur Henri Meilhac (qui lui offre 80000 francs rien que pour la voir nue et gagner le droit de l'appeler « mon bébé rose »), ou bien encore le comte Wladimir Miatlef.
Les guerres de Vendée s'inscrivent comme l'un des épisodes les plus meurtriers de la Révolution française. Luttant aux côtés des insurgés, François Charette en fut le héros tragique. Tandis que l'assemblée de la Convention mobilise des milliers d'hommes pour repousser les armées de la coalition européenne, une région se lève comme un seul homme pour dire non à cette nouvelle autorité qu'elle exècre. Des éleveurs, des laboureurs, des artisans prennent les armes et défient un pouvoir central qui, face à la menace des pays voisins, ne peut laisser germer une rébellion intérieure.