Oui, l'amour peut prendre mille et une formes, et c'est précisément cette grande diversité qui rend cette émotion si inintelligible
« j’ai la sensation d’avoir voyagé dans le passé et me revois assis au bord de la falaise de la côte sud de Vinaya. Je me rappelle précisément l’instant même où cette petite danseuse est entré dans mon champ de vision et les sensations qui m’ont submergé pendant que j’ai observé en secret. Une douce chaleur se répand dans la poitrine, se propageant progressivement dans le reste de mon corps. Un instant, je revois Shiyo à quelques mètres de moi, et j’ai l’impression qu’il me suffit de descendre la falaise pour la rejoindre… Elle est presque à portée de main… »
Mener cette guerre contre le système de Vopesta, c'est comme se promener avec un paratonnerre dans les bras le jour où le ciel se déchaîne. On sait qu'on va prendre la foudre, il ne reste plus qu'à savoir quand.
Nous voulons rappeler à chacun qu'une personne est avant tout une âme.
Je pensais, comme les autres jeunes de ma génération, devoir renoncer à une part de ma liberté en faisant entrer quelqu'un dans ma vie.
Mais j'ai compris que l'amour, ce n'était pas ça. Ce n'était pas être prisonnier de quelqu'un, mais être son allié.
-En réalité, le pire ennemi de l'amoureux n'est autre que sa propre imagination, […] C'est elle qui crée mille et une images douloureuses dans son esprit, qui invoque les pires des scénarios. C'est elle qui transforme notre cher et tendre en un abandonneur, c'est elle qui le « tue » impitoyablement.
A mes yeux, l'usage de l'arbre comme symbole pour un tel programme est scandaleux. Les arbres représentent la vie, la liberté, et pas l'emprisonnement de toute une génération dans un programme, aussi bienfaiteur soit-il censé être.
Mais, par amour, les gens peuvent changer. L'amour, c'est des compromis, des efforts constants... Rien ne peut séparer deux personnes qui s'aiment vraiment. Rien, pas même la mort.
Sans m'en rendre compte, l'amour a pris possession de moi, alors même que je pensais être immunisé.
La voix du libraire perturbe à nouveau le calme qui règne religieusement dans ce lieu où les bouquins sont rois.