Citations sur Entre chiens et loups, tome 4 : Le retour de l'aube (24)
Toi et moi, bébé, contre le monde entier.
La vie est trop précieuse pour être si fragile. A moins qu'elle ne soit précieuse parce qu'elle est fragile. (p. 406)
Le regret est un sentiment sous-estimé qui peut vous dévorer autant que la colère et la jalousie. (p. 258)
Il n'y avait besoin de rien de plus - une averse, un claquement de porte, un coup de couteau ou un coup de feu - et une personne pouvait disparaître et ne plus exister que dans le souvenir de ceux qui restaient. La vie était trop fragile. (p.235)
Mon front sur son épaule, j'ai fait quelque chose que je n'avais pas fait depuis des années. La seule que je pensais ne plus jamais faire.
J'ai pleuré.
Tu forces mon coeur à battre. (p. 244)
La drogue n'avait pas de frontières, elle n'était pas réservée à un secteur particulier, ni même à un pays. C'était un des grands leviers de ce monde. (p.115)
Il y aura toujours un marché pour ce qui est hors la loi. (p. 262)
J'en avais marre. Je pensais sans arrêt à tout ce que je pourrais faire, à tout ce que je pourrais être si j'avais les moyens. (p. 37)
Si je devais me bagarrer contre tous les débiles qui me regardaient de travers, je passerais ma vie entière les poings serrés. Je n'en avais aucune envie. Je refusais de considérer chaque personne que je croisais comme un ennemi potentiel. Je ne voulais pas à chaque fois cogner de peur d'être cogné. Je n'étais pas comme ça, point final.