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3,7

sur 278 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Quand l'auteur d'un livre m'est inconnue, dés les premières pages la prose prime sur le sujet, et influe sur mes ressentis pour la suite. Il n'est pas nécessaire qu'elle soit exceptionnelle ou autre, il suffit que je m'y sens bien. Là chez Guy Boley, loin de me charmer, ni me laisser indifférente, elle m'a mise mal à l'aise. Pourquoi ? Tout simplement j'y ai senti un style imagé forcé, alambiqué, maladroitement exprimé à mon goût, où souvent la longueur des phrases en rajoutent . “......si courette est le diminutif de petite cour, on devrait dire ruette pour une petite rue alors qu'on dit ruelle. Décidément, les voies de la grammaire, semblables à celles du Seigneur, lui sont impénétrables.”, et je vous épargne le début de la première phrase, cinq lignes à rajouter..... M'ont lassée aussi le Petit Larousse illustré du papa et les répétitions d'expressions , comme « paf, entre deux wagons, comme une crêpe, le pauvre », sa grand-mère qui parle de la mort de son grand-père paternel..... et ça a l'air de l'amuser, pas moi. Quand au sujet, un père qu'on estime sur le tard sur une base d'auto-fiction romancée, un sujet banal, qu'uniquement une plume séduisante, aurait pu rendre original ou insolite. Ce qui est loin d'être le cas ici.

Dans cette rentrée littéraire, sur le même sujet, j'ai lu beaucoup mieux. Toujours la boxe et relation père-fils, “Le blues du boxeur “, premier roman d'un auteur danois Michael Enggaard. Pour être bref, aucune émotion, aucune empathie pour les personnages, d'autant plus que l'histoire de “La Passion de Notre Seigneur Jésus-Christ” avec C/G.Grant ou Tarzan dans la jungle des femmes, ne m'ont pas du tout emballée. Difficile d'aimer dans ces circonstances là. Pour moi le charme malheureusement n'a pas opéré.
Merci blandine, et désolée.....
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Lu dans le cadre du Prix Horizon du 2ème roman de la ville de Marche-en-Famenne (Belgique), édition 2020
Je découvre cet auteur à l'occasion de son deuxième roman.
L'écriture est très belle.
Le sujet est touchant. Ecrire sur son père, celui qui a été son Dieu... Comme je le comprends, moi qui ai élevé mon père à ce même rang...
Forgeron de métier, ce père est aussi boxeur amateur. Cela donne lieu à des descriptions du travail sur les locomotives et voitures de chemin de fer ainsi que celles des combats de boxe.
Je me suis fortement ennuyée. Je n'ai pas été touchée . Je suis passée à côté...
Je me demande si l'auteur n'a pas voulu en faire une oeuvre magistrale, à la hauteur de l'estime qu'il avait pour son père... et qu'à force d'en faire trop, il m'a perdue en chemin. Dommage...
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Guy Boley nous livre un récit construit, intelligent et ficelé. Peut-être trop, trop lisse trop travaillé trop cérébral. Les qualités littéraires de l'ouvrage sont indéniables mais il manque un petit quelque chose pour me séduire. le sujet me plait, l'idée me plait mais l'émotion n'arrive pas jusqu'à moi.
C'est dommage, les yeux doux et sereins de l'auteur donnent envie de se lover dans son histoire, de se plonger dans la bienveillance qu'il semble respirer.
Il suffit parfois du bon moment, il faut croire que le moment n'était pas venu pour moi.
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Après nous avoir narré sa propre histoire, dans "Fils du feu", Guy Boley reprend la plume pour nous parler de son père, le forgeron. Ici il est surtout question de deux amis d'enfance aux destins différents que rien ne séparera ; le paternel, devenu forgeron, boxeur de talent pour qui les livres étaient une perte de temps et l'ami devenu prêtre.
Guy Boley rend ici un hommage à un père aimé et respecté.

Le second roman est toujours une étape un peu spéciale ; surtout quand le premier fut excellent.
Sans doute vais-je (encore une fois) me démarquer avec mon appréciation dissonante, mais je suis très déçue par ce nouvel opus.
Déçue d'avoir eu la –désagréable – impression d'avoir (re) lu le même livre, bien que le sujet soi différent ; encore que ….
Déçue de ne pas avoir retrouvé le plaisir ressenti pour le premier, ni la beauté de l'écriture dans le sens où ici, cela ne m'a pas touché.

Mais ce qui m'a, finalement le plus agacé, c'est d'apprendre que son troisième roman parlerait de sa mère…. Sans moi !
Mr Boley, dites- moi que votre 4 ème roman ne parlera de votre poisson rouge !!

Lien : https://leblogdemimipinson.b..
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Ce livre ne m'a pas semblé être une biographie "authentique". La vie du père adoré me semble romancée. Je n'ai pas aimé l'écriture et me suis ennuyée ferme.
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