Le 24 octobre 1868, j'évoquai l'esprit Walewski en ces termes.
" Mon cher esprit, puis-je me permettre de troubler ton noble repos, pour te demander ce que tu penses de la transformation qui se prépare sur la terre ? "
Réponse : " Mon cher ami et vénéré frère, que puis-je te dire que tu ne saches, toi qui es inspiré de ton Dieu ? Tu es si grand, si grand, que je ne puis m'élever jusqu'à toi ! Sans doute j'ai parcouru ma carrière terrestre avec quelque éclat, mais que sont les combinaisons de la science terrestre, comparées à celles qui émanent du ciel ? Toi, inspiré de ton Dieu, tu lis dans l'avenir. Tu suis d'un œil illuminé les phases diverses que doit accomplir ou subir l'humanité. Moi, attardé dans la science qui t'édifie, je suis encore un ignorant mais je cherche à m'instruire et suis bien disposé à marcher sur tes pas, car tu me montres le but que je dois atteindre.