On n’aime pas son visage, on l’accepte. Il n’y a pas d’alternative. Et puis, peut-être qu’il n’y a pas de visage, mais seulement des cartes en relief dont on suit les lignes, les cavités, les trous noirs, et qui rappellent un paysage, une montagne, une plage, un chemin. Ce n’est pas la matière qui importe, cette viande à orifices, mais ce qu’elle devient dans les yeux des autres.