L'imagination est attaquée, les spires où évoluent les dessinateurs sont bloquées. le danger est grand car certains sont déjà tombés au contact de la méduse qui progresse dans l'imagination. Ewilan ne peut que le constater alors qu'elle doit passer ses examens à l'université d'al Jeit. Salim quant à lui poursuit sa formation avec Ellana, marchant pour ceci sur les pieds de quelques autres marchombres qui aimeraient tant les piéger, voire pire.
On retrouve avec plaisir nos héros, qui sont presque au complet pour leur périple qui n'est pas sans repos. le lecteur n'a, comme d'habitude, pas le temps de s'ennuyer. Il tremble, il pleure, il rit ! La plume de
Pierre Bottero est fidèle à elle même, splendide, déliée et pleine de majesté !
Les personnages sont tout en profondeur, le lecteur commence à bien les connaître, voire même à les connaître sur le bout des doigts ! Les réparties, quand bien même elles sont attendues par le lecteur sont toujours savoureuses, pleines d'humour. On retrouve le personnage de Chiam Vite. Il nous présente sa compagne qui nous subjugue, ainsi que d'autres par sa beauté.
Je présenterai dans cette chronique Maniel, qui même s'il est très discret dans cet épisode reste un élément essentiel de notre bande d'amis. C'est un ancien soldat de l'Empire, un colosse au caractère doux et sociable. Entré au service de la famille Gil' Sayan comme homme-lige.
Comme dans les tomes précédents, l'amour et l'amitié sont très présents. La maladie est un autre thème abordés dans ce tome, tout comme la mort ! Dans ce tome, Ewilan, amoureuse de Salim va se trouver aux prises avec des sentiments équivoques envers un autre de ses camarades. Va-t-elle trouver la paix de l'esprit ?
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