[...] le mariage étant le plus beau jour de la vie, nous avons décidé de nous marier tous les jours, ainsi notre vie est un perpétuel paradis.
La maîtresse aussi mentait parfois mais elle, elle avait le droit.
Papa considérait qu'une fête romantique ne pouvait porter qu'un prénom féminin.
Je mentais à l'endroit chez moi et à l'envers à l'école, c'était compliqué pour moi, mais plus simple pour les autres.
Le temps d'un cocktail, d'une danse, une femme folle et chapeautée d'ailes, m'avait rendu fou d'elle en m'invitant à partager sa démence.
[...] Cette douce marginalité, ces pieds de nez perpétuels à la réalité, ces bras d’honneur aux conventions, aux horloges, aux saisons, ces langues tirées aux qu’en-dira-t-on.