Citations sur Pitbull (9)
Quel sourire ! Elle pourrait décapiter un rat d'un seul coup de dents !
En Belgique et en France, je ne devrais pas être puni, je devrais être remercié, félicité, décoré ! Je serai condamné, mais pour la forme. Quinze ou vingt ans de réclusion, en additionnant tout. Si j’en prends pour vingt ans, dans la pire hypothèse, grâce au jeu des remises de peine je n’en ferai que dix, à tout casser. J’ai vingt-sept ans, j’en aurai trente-sept maxi quand je sortirai. Je serai jeune, je serai libre, je serai riche.
Mon affaire ne se présente pas trop mal. Après tout, en faisant ce que j’ai fait, j’ai rendu service à la Société… cette société qui n’ose plus se débarrasser de ses monstres. J’ai fait le ménage pour elle. Je l’ai débarrassée de cette racaille criminelle qui, laissée vivante, lui aurait coûté terriblement cher en fric, pour ne pas dire en vies humaines ! J’ai liquidé un parasite, organisateur de rapt ...
Si vous connaissiez le code de déontologie de la chaîne, vous sauriez qu’elle ne dévoile jamais ses sources. Vous pouvez téléphoner à notre rédaction de la cabine qui se trouve dans le hall d’entrée de TF 1, personne ici n’ira vous dénoncer !
Quand les choses se passent dans l’ombre, les gens qu’on désire manipuler gardent une certaine marge de manœuvre, mais lorsque du premier coup ces affaires éclatent au grand jour, comme aujourd’hui, ces mêmes gens sont pris au piège, l’opinion exige qu’ils réagissent immédiatement, ils n’ont pas le temps de contre-attaquer !
Dans les heures qui suivent, le scoop est repris par les divers médias du monde occidental, pour qui l’absence d’une star à un dîner passe évidemment avant les guerres, massacres, génocides, épidémies, famines et horreurs planétaires en tout genre qui sont devenus le pain quotidien de l’opinion.
C’est chez lui que les Rambo du GIGN et du RAID viennent s’équiper en cas de coup dur, car mieux vaut alors avoir entre les mains cette bonne vieille riflette que le sinistre « Clairon » de l’armée française, qui a coûté plus de cinquante milliards aux contribuables, et avec lequel notre champion olympique, Jean-Pierre Amat lui-même, serait incapable de toucher un éléphant dans un couloir.
Vous savez, les femmes… elles vivent avec vous… elles couchent avec vous… Est-ce qu’elles vous aiment, est-ce qu’elles vous haïssent ?… Tout ce que je puis dire, c’est que je l’aimais, moi, passionnément. Je l’aimais, je l’aime, je ne pourrai jamais aimer une autre femme.
Quand je veux du blé, je m’efforce de rendre un petit service, ici ou là. En 1997, à Paris, ce ne sont pas les occasions qui manquent. Le fric est partout. Pour être fauché, ou même chômeur, il faut vraiment le vouloir !