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Critique de Olloix
Au-delà de la vie de Léonard de Vinci, ce livre m'a plongé dans le monde de la fin du 15ème et début du 16ème siècle, période historique qui a toujours été très floue pour moi, parsemée de noms que j'ai toujours eu du mal à agencer les uns par rapport aux autres : Médicis, Borgia, Marignan, Savonarole, ....
Et j'en remercie Serge Bramly, d'autant plus qu'il a su trouver le bon dosage entre érudition et récit romancé à hauteur d'humanité des différents personnages. Je rapproche en cela ce texte des biographies romancées de Stefan Zweig : Marie-Antoinette, Magellan, Marie-Stuart, ....
Pour en revenir au personnage central de ce livre, Léonard de Vinci, je ressors de cette lecteur avec des éclairages que je n'avais pas : beaucoup de projets inaboutis, beaucoup d'oeuvres disparues ou abîmées, une vie de mercenaire de l'ingénierie et de l'art ; ingénierie souvent motivée par l'art de la guerre, art souvent motivé par la guerre de la communication et de la représentation.
Et j'en remercie Serge Bramly, d'autant plus qu'il a su trouver le bon dosage entre érudition et récit romancé à hauteur d'humanité des différents personnages. Je rapproche en cela ce texte des biographies romancées de Stefan Zweig : Marie-Antoinette, Magellan, Marie-Stuart, ....
Pour en revenir au personnage central de ce livre, Léonard de Vinci, je ressors de cette lecteur avec des éclairages que je n'avais pas : beaucoup de projets inaboutis, beaucoup d'oeuvres disparues ou abîmées, une vie de mercenaire de l'ingénierie et de l'art ; ingénierie souvent motivée par l'art de la guerre, art souvent motivé par la guerre de la communication et de la représentation.
