Accepter que le monde moderne plonge ses racines dans la civilisation grecque et latine et dans celles qui les précédèrent, c’est supposer que les problèmes auxquels les Anciens tentèrent de trouver des solutions persistent encore et ont toujours une raison d’être.
Le corps peut être symbolisé, comme le pivot de cet axe de réflexion, reliant, à la fois, le passé et l’avenir, le profane et le sacré.