Gardez jalousement les souvenirs que vous vous créerez, dans un coin de la tête, mais surtout dans un coin du cœur.
Par pudeur, nostalgie peut-être, craignant de clore le chapitre d’un livre dont je ne peux me lasser de tourner les pages.
Et toi non plus tu ne subiras plus le temps qui passe . T’auras envie de le dévorer ,d’en avoir toujours plus
L’amour a ça d’incroyable qu’il vous pénètre le cœur et s’y loge , irrévérencieux.
La prochaine fois que tu doutes sur quelque chose ne te mure pas dans tes pensées, te créant ta propre réalité qui n’en est pas une .Ouvre toi et parle
Dans tout ce chaos tu as été le seul rayon de soleil ..t’as pas été un fardeau t’as été la bouée qui nous as sauvés
Rattrapé par la réalité, je sais que je finirai seul, et l’idée n’est pas pour me déplaire. Pas de faux-semblants, de maladresse et de compromis. Pas d’attache qui fait souffrir quand tout se termine; comme un pansement que l’on arrache sèchement sur une plaie mal cicatrisée.
“Voici des fruits, des fleurs, des feuilles et des branches. Et puis voici mon cœur qui ne bat que pour vous. Ne le déchirez pas avec vos deux mains blanches. Et qu’à vos yeux si beaux l’humble présent soit doux.”
Paul Verlaine
Que chaque personne vient chercher ici ce qu’elle ne trouve pas ailleurs: le sentiment d’être un peu moins seul. Une parenthèse dans un quotidien qui file à vive allure ou qui, au contraire, s’inscrit dans le temps.
C’est terrible ce que le manque peut vous faire faire d’irrationnel. C’est étrange ce que le deuil peut durer, s’infiltrer dans votre âme et ne jamais vraiment en sortir.