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Critique de Marti94
Bien que très différentes, j'ai aimé ces histoires de femmes racontées par des femmes et proposées dans ce recueil intitulé "52 ou la seconde vie" comme 52 petits textes écrits par Geneviève Brisac.
Ce sont des histoires de tous les temps, des tranches de vie ou des souvenirs avec pour point commun des narratrices et non pas des narrateurs, bien que les hommes soient aussi présents dans ces différentes histoires, souvenirs, témoignages.
J'ai bien aimé le ton adopté par l'auteur mais je dois dire que sur ces 52 propositions, j'ai préféré le texte "l'enfant qui pleure" parce que Geneviève Brisac raconte ses souvenirs avec Marguerite Duras et ce témoignage-là est très précieux à mes yeux.
Elle raconte qu'au téléphone Marguerite Duras aime entendre pleurer son bébé ce qui n'est pas surprenant sachant qu'elle a elle-même perdu un bébé à la naissance. C'est la première rencontre entre Duras et Brisac et cela devient un sujet littéraire. Il faut dire que c'est "l'été 80", titre d'un recueil éponyme.
Ce sont des histoires de tous les temps, des tranches de vie ou des souvenirs avec pour point commun des narratrices et non pas des narrateurs, bien que les hommes soient aussi présents dans ces différentes histoires, souvenirs, témoignages.
J'ai bien aimé le ton adopté par l'auteur mais je dois dire que sur ces 52 propositions, j'ai préféré le texte "l'enfant qui pleure" parce que Geneviève Brisac raconte ses souvenirs avec Marguerite Duras et ce témoignage-là est très précieux à mes yeux.
Elle raconte qu'au téléphone Marguerite Duras aime entendre pleurer son bébé ce qui n'est pas surprenant sachant qu'elle a elle-même perdu un bébé à la naissance. C'est la première rencontre entre Duras et Brisac et cela devient un sujet littéraire. Il faut dire que c'est "l'été 80", titre d'un recueil éponyme.
