Si
Bukowski n'avait pas existé, il aurait fallu l'inventer. On n'aime ou on n'aime pas. Pour moi, ce sont des récréations prises en alterné avec les révélations coups de poings de Gomorra de
Roberto Saviano. C'est tellement osé et cru que cela me fait rire, surtout la première nouvelle : La sirène baiseuse de Venice, Californie. Dans ces 44 ‘contes' on y trouve les thèmes chers à l'auteur : alcool, sexe, jeu, mais surtout misère, emplois merdiques, galère. Au moins cela ne sent pas l'hypocrisie !
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