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Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Dominique Chevallier travaille dans une agence de pub. Un soir, alors qu'il assiste à un ballet, il est bouleversé par la performance d'une danseuse ; sa grâce absolue, la perfection de son geste. Sa vie lui paraît soudain dénuée de sens. Alors, c'est décidé, il va partir. Partir avec, pour seule règle, celle de rouler droit devant, jusqu'à ce que son réservoir d'essence soit vide..

On aurait aimé tant l'aimer ce premier roman ne serait ce que par son titre, parfaitement approprié ( forcément) , mais ce road trip vaguement existentiel aux faux airs de Bagdad café nous a laissé sur le bord de la route, si on peut dire : personnages qui semblent réduit au rang de silhouette, écriture faussement fantaiste, l'ennui est au bout de ces pourtant à peine 200 pages, dommage .

Bref, aux éditions de l'Iconoclaste, on aura largemént préféré l'uppercut " La Belle vie"...
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Un homme un peu paumé va se perdre dans le désert et échoue dans une sorte de Bagdad Cafe, hélas bien moins pittoresque et touchant. On s'ennuie beaucoup, les personnages croisés par notre anti-héros n'étant guère passionnants et l'écriture pas vraiment remarquable. Un livre vite lu, vite oublié.
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Sacré bazaar

Dominique Chevalier tourne en rond.
Il travaille dans une agence de pub qui l'oppresse.
Marre de vendre des fausses promesses.
Marre de l'artificiel.
En sortant d'un spectacle de ballet, c'est la révélation.
Si bouleversé, il décide de partir.
Il bazarde ses clés de maison, fait le plein et roule.
Roule jusqu'à ce qu'il n'y ait plus une goutte d'essence.
C'est le moteur qui lâche.
Près d'un promontoire, il contemple la nature.
Un vieil homme munit d'un vieux Polaroïd « mange le présent ».
Une rencontre étrange.
Un échange entre les deux hommes qui l'est tout autant.
Est-ce réel ?
Son attention est captée par des néons rougeoyants.
« BAZAAR ».
Dominique pénètre dans ce lieu de mystère hors du temps.
Il y rencontre une ex, Stella.
Millie, la tatouée non tatouée qui marque l'âme des hommes.
Barnold, le livreur de panneaux solaires.
Théo, qui entretient de bien étranges machines à la Causse.
Vic, la gamine.
Le photographe et son modèle qui nous raconte l'amour.
Le vrai.
Un petit monde qui s'apprivoise le temps d'une parenthèse enchantée.

Une écriture onirique et poétique. Des métaphores à la pelle. Une impression de planer qui ne m'a pas quitté tout au long de ma lecture. On ne nous dévoile que quelques bribes du passé de chacun. Aucun personnage ne sort du lot, ils sont tous logés à la même enseigne. Je ne m'y suis pas attachée. J'aurai parfois préféré une écriture un peu plus simple parce que l'évidence est là : je n'ai pas compris ce que j'ai lu. Cette désagréable impression de planer qui a rendu incompréhensible le récit. La plume est belle mais j'ai tourné les pages sans déceler le but de cette histoire où tout ne paraît qu'illusion. Un petit peu à la Alice aux pays des merveilles avec ce chat qui ne cesse de disparaitre. Dominique est-il réellement allé au Bazaar ? A t-il vraiment eu toutes ses conversations avec les différents personnages ? Toujours est-il que la fin ferme la boucle. Et je me suis demandée si je n'avais pas été menée en bateau.


Merci @ed_iconoclaste pour l'envoi ❤️
Lien : https://loeildem.wordpress.com
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Un jour, Dominique Chevallier, le narrateur, ferme sa porte à clé et décide de partir vers le sud jusqu'à épuisement de l'essence. Ce qui le conduit jusqu'à une sorte de motel délabré, le Bazaar où vivent Dan, Millie, Gene, Théo, Stella et Vic. Pendant quelques jours, Dominique met le cours de sa vie en pause.

Je n'ai guère adhéré à cette histoire supposée porter la réflexion existentielle d'un homme et son incertitude face aux choix qui orienteront son avenir. Il m'a semblé que le cryptage des situations et des personnages était transparent et vain.
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La première chose qui m'a fait aller vers ce livre c'est la maison d'édition. J'avais lu "Ma reine" de cette maison d'édition l'an dernier et cela avait été un véritable coup de coeur. Pas seulement pour l'histoire mais aussi pour l'objet livre. La qualité du papier, la mise en page... Je trouve que les romans de cette maison d'édition sont un plaisir à lire.
Après, pour ce qui est de l'histoire j'ai mis un long moment pour entrer dedans mais j'ai tenu bon. Deuxième bouquin de cette maison d'édition et même si j'ai beaucoup moins accroché, une fois de plus l'ambiance et le décor m'ont transportée. Cela ne restera pas un souvenir impérissable mais c'était une belle parenthèse durant ma journée.
Il y a un seul personnage un peu attachant et j'ai eu un peu de mal à imaginer que cela se passait en France vu les descriptions de paysages mais pourquoi pas.
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