J'avais bien apprécié ce Caldwell (Erskine)-là. Ces histoires changeaient de la veine triste de
Nous les vivants,
La route au tabac ou
Une lampe, le soir.
Dans
Un p'tit gars de Géorgie, place à l'insouciance du Sud, avec une famille pittoresque au chef très fainéant mais non dépourvu d'idées parfois farfelues!
Ainsi, cette acquisition d'une machine à faire des ballots de vieux papiers pour le chiffonnier!... Au grand dam de Mme
Strout qui ne retrouve plus ses magazines!.. Et sous les yeux écarquillés du brave domestique noir!
Caldwell savait se diversifier, en laissant la noirceur hors de certains de ses livres... Des pauses bienvenues dans la visite de l'oeuvre de ce grand auteur.
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