Ma lecture de ce second tome s'est étalée sur deux semaines, il faut dire que les romans de Trudi Canavan sont tous de petit pavé et que celui-ci ne fait pas exception. J'ai pris grand plaisir à me plonger chaque jour pour quelques pages au moins dans le monde que nous propose ici Trudi Canavan que l'auteur continue d'étoffer.
Avec la fin du tome un je me demandais comment l'auteure allait relancer son intrigue et je dois dire que je ne suis pas déçu du résultat. Les sous-intrigues du premier tome prennent toute leur place dans ce tome qui vient remettre en cause bien des choses notamment le manichéisme que posait le premier tome avec d'un côté les gentils blancs soutenu de leurs dieux sage et bon et de l'autre les méchant pentandriens et leurs dieux fictifs. Ici celui-ci n'est clairement plus de mise les pentandriens n'apparaissant plus si méchant que cela et les gentils dieux que vénèrent les blancs plus si sympathiques que cela. Autant dire que cela rend les choses tout de suite beaucoup plus intéressantes.
Ce tome est aussi l'occasion de découvrir de nouveaux personnages intéressants que cela soit la princesse Elaï Imi qui va bien grandir lors de ce tome et va nous permettre d'en apprendre plus sur les Elaïs, le personnage de Reivan cette pentadrienne sans pouvoir qui va côtoyer de très près les Voix dont la deuxième voix Imenja. On en apprend plus grâce à elles sur les pentandries et cela permet au passage de revoir notre jugement sur ceux-ci. On en apprend également ici un peu plus sur la mystérieuse Emerahl et les immortels qui prennent de plus en plus d'importance au fil de la série.
Du côté d'Auraya, celle-ci se retrouve une grande partie de ce tome à Si les Siyee souffrant d'une grave épidémie, la jeune femme sera dans ce tome confronté à de durs choix qui remettront en doute sa foi.
La fin de ce tome est quant à elle tout simplement formidable, je ne l'avais vraiment pas vue arriver et trouve que c'est une excellente idée de la part de l'auteure. le prochain tome sera avec une fin pareille assurément très intéressant. J'ai donc décidé de ne pas attendre pour connaître la suite et j'ai enchainé directement avec le tome 3 très curieux de voir comment va s'achever cette trilogie.
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Au début de ce deuxième tome, j'étais pas vraiment emballée. Je trouvais qu'il ne se passait pas grand chose et Auraya agaçante car trop lisse comme personnage. le seul intérêt étant de voir un peu l'autre côté de la barrière avec les Pentadriens ( même si je trouve l'histoire de Reivan peu différente de celle d'Auraya et leur pays assez similaire).
Et puis l'histoire devient enfin plus intéressante grâce au personnage de Leiard ! Enfin un peu de tension, d'interrogations sur les Dieux circliens, de nouveautés ; Auraya ne se révèle finalement pas si insipide et c'est tant mieux, je la vois sous un nouveau jour et j'espère que ça continuera comme ça ! Maintenant que les dès sont jetés, espérons que la conclusion sera à la hauteur, surtout pour les indomptés !
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Ce second tome est plus riche que le précédent. On en apprend plus sur les Pentadriens, qui ne semblent finalement pas si sanguinaires, ni si différents des Circliens. On retrouve la Mégère et Minar, qui tiennent un rôle plus important que dans le premier tome et nous permettent de mieux comprendre les Indomptés. Auraya continue à oeuvrer pour le rapprochement avec les Tisse-Rêves, non sans quelques arrière-pensées. Elle aura bientôt l'occasion de revoir les Siyees, suite à une épidémie.
L'auteur enchaine les différentes sous-histoires avec beaucoup de virtuosité et sait nous tenir en haleine. le seul petit reproche concerne la mise en page, car on saute régulièrement d'une ligne à l'autre d'un personnage à l'autre. Surprenant au début, un petit saut de paragraphe au minimum aurait été bienvenu.
Le gros morceau reste Auraya tiraillée entre sa loyauté pour les dieux et son jugement.
Le final, sans le dévoiler, est très surprenant, un vrai coup de tonnerre. Cela promet un très bon troisième tome.
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Si le premier tome m'avait paru facile et léger, ce deuxième tome ouvre des horizons beaucoup plus intéressants. Sans rien dévoiler de l'histoire, je peux dire que la fin du tome donne envie de lire le troisième et qu'au-delà de l'histoire des personnages, le récit pose des questions pertinentes sur les rapports entre l'autorité et nos convictions profondes sous des accent d'humanité ou de fanatisme. Bref des thèmes sérieux sur un ton romanesque et léger. Je déplore toutefois la lenteur du récit et ma foi, le manque de suspens.
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Ce deuxième roman de la trilogie de l'âge des cinq continue à suivre la parcours d'Auraya, prêtresse blanche, après les derniers événements du tome 1. En parallèle, nous avons le point de vue des personnages étant considérés comme les “méchants” dans le tome précédent ce qui rend ce livre plus intéressant que le précédent et nous permet de comprendre leur motivations. Ce tome est beaucoup moins manichéen que le premier : ce n'est plus les gentils Blancs contre les méchants Pentadariens et leurs dieux. de plus, nous retrouvons un des peuples que j'avais particulièrement aimé dans le premier tome comme les Siyee et qui ont à nouveau une place assez importante dans l'histoire.
Néanmoins, j'ai eu du mal à me replonger dans l'univers de l'autrice. le début du récit m'a paru assez lent malgré le deuxième point de vue présent, il ne se passait pas grand-chose. Au fur et à mesure que le récit avance, de nouvelles intrigues se mettent en place et plus particulièrement chez le peuple des Elaï et des Siyee qui rendent le récit plus intrigant et intéressant.
L'événement de la fin est la suite logique de ce qui s'est passé tout au long du roman, mais donne néanmoins envie de lire la suite.
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Je suis un peu déçu de ce tome bien que je ne l'ai pas détesté il est moyen pour moi.
J'ai trouvé que certains passages était un peu long et pas forcément intéressant mis à part ceux sur auraya et mirar.
J'avoue qu'au début j'ai vraiment détesté mirar et compatit au chagrin d'auraya mais après je l'ai apprécié.
Ces personnages se remettent en question et subissent de grands changements sur leurs vies qui les poussent à renier leurs croyances.
Après on a des nouveaux personnages qui ne m'ont pas particulièrement intéressé et ont retardé pour moi ma lecture.
Par contre je ne sais pas si ça vient de moi mais je mets toujours un peu de temps avant de rentrer dans le livre mais après je le finis assez vite une fois dedans.
Je trouve que les débuts sont un peu long à commencer et pas forcément très utile pour la suite.
C'est une lecture moyenne dont j'attends de savoir la suite car la fin laisse supposer beaucouP d'action pour la suite.
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Dans ce deuxième volume, la situation limpide du premier tome s'obscurcit. Dans le précédent roman, tout était simple : il y avait d'affreux sorciers dans le camp opposé, et dans le camp d'Auraya des dieux bons, qui encourageaient leurs prêtres à créer des alliances et observaient avec une bienveillance silencieuse les efforts des personnages pour combattre leurs préjugés. Mais là, le doute s'installe : les dieux ne sont sans doute pas aussi bons que ce qu'ils semblent être, les méchants sorciers changent de stratégie et paraissent aussi gentils que les autres... Pourtant, curieusement, cette complexité accrue ne m'a pas fait apprécier ce livre davantage que le précédent. le rythme lent de l'intrigue n'est pas favorable aux retournements de situation ni aux excès psychologiques, les personnages m'ont du coup semblé moins crédibles que dans le précédent tome. Cette aventure reste cependant très honnête, une intrigue construite autour d'un quintet de dieux gérant les affaires humaines est tout de même profondément originale.
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